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Compte rendu Geek Art Valentin Gambino

 Geek Art

Projet : Clip de rap sur le thème des jeux vidéos et de la pop culture.

Objectif : Réaliser une musique et un clip en intégrant des références des jeux vidéos et de la pop culture.

Rôles :

-Paroles : Julie, Jade, Martin, Ludovic, Louna, Louise, Valentin

-Mixages : Martin, jade

-Tournage : Martin, Valentin

-Montage : Valentin

-Mixage : Martin, Jade,

Déroulement :

Nous avons commencés dans les premières semaines par écrire les paroles et trouver la musique assez dynamique ayant des notes faisant penser aux jeux vidéos,

nous avons trouvé une instrumentale dynamique ayant des aires de mario.

Après plusieurs tentatives nous avons enfin réussis à obtenir un résultat qui nous plaisaient plus ou moins.

Enfin les deux dernières semaines étaient dédiées au clip, dont environ 8 heures de montage.

Clip :

 

Clip :

Le clip a été entièrement tourné à La Défense avec un stabilisateur et une caméra.

Au début on rentre dans « notre jeu » à travers un jeu d’arcade, vous pénétrez donc dans notre monde.

Dans ma partie je tourne dans une allée de glace qui me reflète des deux côté, ce qui donne un effet sympa.

La partie à Louna est tourné devant un plan d’eau qui reflète l’arche de la défense derrière.

La partie à Ludo est tourné sur les marches de l’arche de la défense et dans une œuvre d’art représentant le monde.

Jade est filmée depuis l’Arche de la Défense avec les grattes-ciels derrière, ce qui donne une impression d’irréalité.

Enfin Julie est filmée dans un caddie censé ressembler à un vaisseau dans une ambiance parking qui ressemblerait à un garage, et aussi auprès d’un mur vert.

 

Mes Paroles :

En rouge sont surlignés les références à la culture Geek.

Ça commence fort comme dans Red Dead Redemption

( Red Dead étant un jeu d’action , l’histoire débute fort tout comme notre rap)

Ton rap c’est comme mon coca il est pas très   frais 

demande à Vector comment monter sans pression   

(fait référence au jeu de parcour Vector, où il est facile de grimper)

les résultats au bac c’est pas trop ce que j’attendais


chuis pas la pour déconner 

mon équipe c’est la team rocket

(bon celle là elle est simple:), référence à la team rocket des pokémon)

on m’avait dit frappe pile dans le nez 

(fait référence au jeu Sreet Fighter où frapper la tête compte double)

on m’avait dit clique pour l’terminer

(fait référence au jeu tape TITAN)

 

Tas siffler la moitié du Pérignon 

Tas un pokémon bcp trop mignon

Jsurf en y comme Locklass 

(Locklass étant un pokémon eau, il surf en y comme le rappeur JUL )

Tu fais plus peur que Fantômas

en référence au fil Fantomas

Mon rôle:

Mon rôle était avant tout de filmer et de monter, j’avais aussi un couplet à rapper dans la musique. J’estime à environ 8 heures pour le montages car j’ai eu quelques difficultés sur certains effets.

Conclusion :

Notre objectif était de faire un rap en référence à la culture geek, nous avons donc premièrement trouvé la musique, ensuite nous avons écrit les paroles en faisant attention de bien intégrer des références puis nous avons prit une journée pour tourner le clip. La plus grosse partie s’est fait pendant le mixage des voix et le montage du clip. Ça nous à demandé beaucoup de travail mais nous fière du résultat

Le cosplay et la réalité

Lien vers l’article du Geek Art

Pour réaliser notre Geek Art, avec Pitcha nous avons décidé de réaliser la parodie des CMV (Cosplay music vidéo) afin d’en dévoiler les coulisses et les contrastes avec la réalité. Nous nous sommes rendus à deux conventions ayant un environnement différent afin de tourner nos images. Dans un premier temps nous sommes allés à une convention se déroulant toute une nuit à Paris puis une convention classique sur Lyon.

J’ai souhaité réalisé cette vidéo car nous sommes à une époque très numérique où l’apparence que l’ont renvoi sur les réseaux sociaux et internet est importante. Les photos et des vidéos que nous pouvons voir sur les réseaux sociaux montrent les personnes sous leur meilleur aspect  et où le nombre de « j’aime » détermine la popularité de quelqu’un. Mais quel est donc le côté caché de ces vidéos et de ces photos ainsi que la réalité qui y est dissimulé ?

A travers la réalisation de cette vidéo j’ai préféré délaisser la partie montage et ne pas fournir un montage propre et retouché afin que le réalisateur ait le plus possible une impression d’être proche de la réalité lors des parties « reality ». Au contraire j’ai surchargé les expectations de la vidéo afin que le spectateur réalise ce côté faux qui y est présent. J’ai rencontré des cosplayeurs incroyables qui était très ouvert à l’idée de notre projet et ont trouvé le concept intéressant.  Beaucoup disaient la même chose :

« On voit les cosplayeurs sur des CMV, sous le plus belle aspect de leur costume mais on ne voit jamais à quel point un costume peut être encombrant ou inconfortable »

J’ai toujours eu du mal avec ce côté hypocrisie des réseaux sociaux, donc je tenais à réaliser une vidéo dévoilant la réalité. Effectivement moi-même qui fait du cosplay parfois je porte des costumes très encombrant et sur les vidéos ou les photos prisent on ne me verra que dans la peau de mon personnage. Alors que je peux être avec parfois en train de faire les courses pour manger le midi ou encore en train de le retirer à la fin de la journée car j’en aurais eu marre, il fallait que je puisse montrer cette réalité et faire découvrir aux personnes qui idolâtrent le cosplay ou les vidéos/photos que l’ont peut trouvé sur les réseaux sociaux quels sont les coulisses de ces images.

Explication GEEK ART Abygaël

Pour voir l’article concerné c’est ici:

Notre première idée était de tourner un petit court-métrage dans un escape game. Malheureusement nous avons pas eu de réponse positif de la part des entreprises. Nous avons donc chercher d’autres solutions. Nous nous sommes donc regrouper et avons partager nos idées. Nous avons voulu écrire un texte pour expliquer la relation qu’on les gens avec la pop culture. Nous avons vite abandonner ce projet pour passer à du cosplay dans la rue. Nous voulions exagérer quelques péché capitaux et les présenter dans les rues. Nous avons aussi abandonné car ce n’était pas assez extravagants. Nous avons donc étudié l’aspect de la pop culture et l’affluence qu’elle avait sur nos habitudes.

En effet, depuis plusieurs années différents styles de vêtements sont apparus. De plus, c’est aussi le cas avec le développement de la pop culture. Les gens qui s’y intéresse s’habille beaucoup avec des références à celle-ci. Nous avons donc décidé de nous habiller de façon extravagante pour voir la réaction des personnes dans la rue. Nous avons pour but de montrer que malgré la place qu’à sus ce créer la pop culture, elle reste très critiquée par des gens qui ont ou pas des liens avec elle. Pendant notre balade les réactions on été nombreuses et les non-réactions aussi.

Dans ce projet, j’ai donc été habillé en le père de Aya dans le jeu Mad Father. En sortant des toilettes, nous avons directement été confronté par les regards des passants. Etant habituée à être cosplayer devant des inconnus dans les rues pour me rendre en convention je me sentais assez à l’aise. Je me suis pas trop pris la tête et je restais pas mal de temps devant le groupes en motivants les quelque personnes qui n’étaient pas habituées et qui étaient mal à l’aise. Nous avons aussi demandé à des personnes ce qu’elles pensaient de l’extravagance de nos tenues. A cause de ma peur de parler au gens je suis rester en retrait lors de ces différents passages sauf pour ajouter une information ou deux.

De cette journée nous avions pu récupérer différents rushs vidéo et audio. Malheureusement, nous avions pas les autorisations nécessaires pour montrer les vidéos donc nous avons récupéré les différents audio et nous les avons trieé pour récupérer ce qu’il nous intéressait le plus. Théo a travaillé les audio sur Audacity. Avec ces audio j’ai écrit un texte explicatif.

Ce projet m’a intéressé car  j’aime beaucoup les jeux vidéos, les mangas, les animés et beaucoup d’autre chose qui touche la pop culture. Le fait de s’habiller avec extravagance et aussi quelque chose que j’apprécie déjà pour les conventions mais également dans la vie de tout les jours. Je n’aime pas être comme les autres et j’aime beaucoup exprimer mes sentiments avec mes vêtements ou des accessoires tel que des casquettes ou encore des chaussures. Ce projet était pour moi un moyen de m’amuser tout en montrant aux gens qu’il ne faut pas de raisons pour avoir une manière manière de s’habiller différents.

Argumentaire Geek Art BRAGANCA

J’ai fait un Geek Art en commun avec Samy, Véronique, Abygaël. Notre concept était de se déguiser en faisant référence aux univers des animés et du jeux vidéo. Nous nous sommes baladés dans le centre commercial de Vélizy 2 pour recueillir les réactions des passants quand à notre tenue.

Pourquoi ai-je fait ce Geek Art ?

J’ai voulu faire ce Geek Art à plusieurs tout d’abord parce que c’est plus sympathique de le faire avec des amis et ensuite parce que ça nous donne plus de visibilité dans la rue et donc plus de réactions des passants.

J’ai aussi été intéressé par ce Geek Art parce que je passe la majeure partie de mon temps libre à regarder des animés et jouer à des jeux vidéo.

Enfin, c’était très amusant d’imaginer des costumes, de les enfiler puis de se promener en changeant totalement sa personnalité.

Qu’elle est ma participation dans ce Geek Art ?

L’idée est venue collectivement chacun à apporter son aide et nous avons récupérer les témoignages des passants à tour de rôle.

J’ai co-écrit l’article sur le Geek Art avec Abygaël.

Enfin, même si c’est pas très bien fait, c’est moi qui est récupérer les audios avec Audacity.

Qu’est-ce que montre ce Geek Art ?

Ce Geek Art permet de mettre en lumière plusieurs aspects de la société.

Tout d’abord, on peut y voir le clivage qui existe dans notre société entre d’un côté le changement des styles et des goûts et d’un autre la conservation de la mode traditionnelle.

En effet, les réactions des passants face à nos costumes étaient très opposées. Certaines personnes nous trouvaient très beaux et appréciaient énormément nos costumes alors que d’autres nous ont mal regardés et nous ont demandés si nous allions à une fête costumée ou un enterrement de vie de jeunes filles.

Cependant, le rejet face au changement n’est pas le seul problème de société qui transparaît à travers ce Geek Art.

 

Nous avons constaté qu’énormément de passants ne nous avaient pas accordés de regards et restaient sur leur téléphone et dans leur bulle lorsque nous passions à coté d’eux. Cela montre à quel point l’être humain  rejette le monde réel pour se réfugier dans l’univers numérique et l’individualisme qui grandit dans nos sociétés.

 

Permalien : http://www.arpla.fr/canal23/?p=4127

 

 

Analyse de geek art Samy Haggoud

Présentation du projet

Avec Véronique, Abygaël, et Théo, nous avons eu l’idée de nous déguiser de façon extravagante, tout en s’inspirant de l’univers du jeu vidéo et des animes.

L’objectif était initialement de tourner une vidéo, mais pour des raisons légales, nous avons décidé de publier uniquement des extraits sonores.
Par raisons légales, j’entend le fait que nous n’avions pas le droit de filmer le centre commercial, ou le fait que certaines personnes refusaient tout simplement d’êtres filmées.

Pourquoi avons nous décidé de faire cela ?

Tout simplement car nous voulions savoir comment les passants réagiraient en voyant des étudiants se balader en costumes qui sortent de l’ordinaire.
Par exemple, je portait un kigurumi représentant le chat de Cheshire.

Les passants rencontrés étaient de tout âge, en effet nous avons rencontré des personnes âgées tout comme des jeunes personnes.
Cependant, nous avons constaté que la plupart des personnes ayant réagi à nos costumes étaient relativement âgées, c’est à dire de 40 à 80 ans visiblement.
Mais la grande majorité des passants nous ignoraient, comme si on n’existait pas,  j’ai même pendant un instant oublié que je portait un pyjama rose éclatant. Ils regardaient leur téléphones, lisaient et j’en passe.
Je pense que cela traduit le manque d’interaction sociale engendré par l’utilisation excessive du téléphone, surtout chez les jeunes puisque nous avons reçu une majorité de réactions de personnes âgées.

Parmi la minorité de réactions que nous avons reçu, on peut en distinguer deux types:

-Les personnes qui nous regardaient de travers et qui nous dévisageaient et nous jugeaient. La plupart de ces personnes étaient assez âgées, ce qui est assez logique étant donné leur manque d’intérêt et de connaissance pour la culture du jeu vidéo et de l’anime, bien que certaines personnes âgées nous ont complimenté sur nos costumes.

-D’un autre côté, on distingue les personnes qui nous ont complimenté, et/ou qui ont trouvé intéressant notre initiative. Les personnes rentrant dans ce cas étaient en général plus jeunes, leur âge allait de 15 ans à 50 ans maximum.

J’étais satisfait à l’issue du tournage car je ne me serais jamais vu faire cela un jour.
Mes camarades ont d’ailleurs du insister pour me pousser à faire cela.
C’était une expérience intéressante car cela m’a permis personnellement d’affronter le regard des autres et de me dépasser.

Comment le travail a-t-il été réalisé ?

Etant donné que le tournage réalisé dans l’enceinte du centre commercial Vélizy 2 ainsi que dans ses boutiques n’a pas pu être publié pour des raisons que j’ai déjà explicitées plus tôt, nous avons publié des fichiers audio.

C’est Théo qui a récupéré les fichiers audio et qui les a coupés avec le logiciel Audacity.

SIRI

Mes camarades et moi-même avons réalisé un geek art à partir de SIRI, l’assistant vocal intelligent d’Apple.

Nous voulions donner une apparence humaine à SIRI afin de montrer que c’est un être intelligent. Pour cela, nous avons créé un visage neutre et inexpressif recouvert du motif de l’assistant vocal. L’identité visuelle de SIRI a été réalisée à l’aquarelle car c’est une technique de peinture à base d’eau ce qui rappelle le mouvement des vagues qui apparaît sur un bandeau animé lorsque l’utilisateur pose ses questions.
La suite du travail a été réalisée sur Photoshop ce qui nous à permis de produire un GIF. Ce format donne une vie à l’œuvre et crée une attente chez le spectateur qui doit attendre la fin du cycle pour avoir une vision totale de notre travail.

Le personnage a été incrusté au centre de l’image et des phrases s’affichent de chaque côté. À gauche, des questions en soi assez futiles qu’un utilisateur moyen à l’occasion de poser à SIRI pour s’amuser. Les spectateurs lisent en premier les phrases à gauche (c’est le sens de lecture courant en occident). Ils peuvent ensuite découvrir les questions plus « utiles » à droite qui s’opposent aux phrases placées à gauche. Les questions de droite mobilisent SIRI à sa juste valeur: un outil d’aide en ligne. Notre production est restituée de façon cyclique ce qui laisse entrevoir l’idée d’une boucle perpétuelle où SIRI sera sans cesse utilisé davantage de manière 0ludique plutôt que de manière optimale.

Pour insister sur le peu de pertinence des questions posées habituellement à l’assistant, nous avons choisi de poser des questions plutôt burlesques par exemple: « pourquoi je ne peux pas mettre mes doigts dans une prise électrique?  Cette question ne figure pas à ma connaissance parmi les questions posées fréquemment à l’assistant, mais elle permet de souligner l’absurdité des interrogations des utilisateurs.

Les questions “est-ce que tu m’aimes » et « quel est le sens de la vie » font référence au film « Her » de Spike Jonze où le personnage principal (incarné par l’acteur Joaquin Phoenix) tombe amoureux d’une intelligence artificielle. Celle-ci s’émancipe de sa forme « synthétique » et apprend peu à peu à ressentir les émotions propres aux êtres humains. Si le personnage principal de notre travail n’était pas SIRI, mais Samantha, l’OS1 du film Her, ces questions deviennent pertinentes.

Au-delà de notre geek art, nous pouvons nous interroger sur les questions éthiques que soulèvent les assistants vocaux. En effet, en utilisant ces outils, nous donnons à Google notre voie qui est propre à nous-mêmes. Ce service vaut-il réellement la peine de divulguer à Google quelque chose d’aussi unique que notre voix? De plus, bien souvent, les assistants vocaux ne respectent pas le RGPD car ils n’ont pas vraiment de transparence sur la gestion des données personnelles des utilisateurs ainsi que sur les durées d’enregistrement ce qui peut poser de réels problèmes d’espionnage.

J’ai conçu le geek art « la révolte de SIRI » avec Bréan Boitel, Ambroise Janeau et Marc Mony.

Analyse geek art Siri Ambroise

Cherchant a exprimer un problème de société de manière artistique et avec des références que bon nombres de personnes connaissent dans l’univers « geek ».

Le problème en question étant la sous exploitation de ressources numériques avec comme exemple ici le logiciel Siri un automate de dialogue (ou intelligence virtuel comme le dirait notre bon vieux commandent Shepard {mass effect}).

En effet Siri étant considéré comme un gadget cela réduit la crédibilité d’un tel outil et limite son usage a de rares occasion dans un cadre purement récréatif ,limitant ainsi le potentiel d’apprentissage et d’aide que Siri pourrai apporter .

Ce faisant nous décidâmes de prendre la figure de Siri comme porte parole de notre message (un porte parole qui ne fait que répondre(ironie(…voila))).

Notre équipe était constitué de Zoé GUÉMENÉ ,Marc MONY ,Brean BOITEL et Ambroise JANEAU(moi même) .

Zoé et Marc eurent comme tache la partie pratique avec pour Marc la confection du .gif et Zoé créa le visage de Siri en s’inspirant du visuelle du logiciel.

Brean et moi(en collaboration avec les autres membres du groupe bien sur)avons pensé l’idée ,l’opposition entre les phrases inintéressantes et celles plus ludiques et le parallèle avec les question les plus posée et les question peu entendu par Siri(peu entendu=intéressantes ;beaucoup entendu=ludiques).

Ainsi nous partîmes en quête de question en tout genres posé a notre ami Siri avec des question allant de la demande blague a certaines frôlant la débilitée(sans jugement négatif bien évidement)pour les questions ludiques et pour les question « inintéressantes » on a du les crée nous même avec par exemple des questions sur le lycantropisme ou bien sur des calcules (nous avons demandé la racine carré de pi et Siri n’a pas été capable de trouver la réponse une fois encore cela prouve que cette technologie est sous exploitée bien malheureusement)

Le geekart se matérialisa sous la forme d’une courte animation(travail effectuer par Marc) nous présentant Siri expliquant les problèmes énoncés si-dessus avec le visage de Siri représenté par une silhouette rempli du logo de l’application(travail effectuer par Zoé) .

Wander Fortress 2D

Lien vers l’article du projet

 

Team Fortress 2, une franchise qui me tient à cœur, est le centre de ma création.

Lorsque l’on vous dit ce qui a plu dans un jeu de tir, vous vous attendez à entendre des éloges du système de combat du jeu ou encore le charisme des personnages. Ce n’est cependant pas ce qui m’a séduit et poussé à jouer à un jeu auquel je joue toujours aujourd’hui. En effet, ma première expérience, il y a quelques années, à ce jeu ne contenait pas de gameplay, mais seulement l’écran de chargement :Mon frère, l’ayant récemment installé avait lancé une partie ,se retrouvait dans le susdit écran; C’est à ce moment précis que le jeu m’interpella,j’étais en effet sensible en ce qui pourrait paraître comme un détail: Le fond. Un décors industriel, les quelques cheminées, réservoirs et tapis roulants en style cartoon et ombres chinoises m’ont conquis.

Jusqu’à là je ne connaissait que des fps qui nous mettaient dans une ambiance fantaisistes, réalistes ou futuristes. L’idée de se battre dans un environnement industriel cartoon me paraissait nouveau et me plaisait à un tel point que je j’installa le jeu sur mon ordinateur. Bientôt, je lançai le jeu et me mis à chercher une partie, bien que je ne connaissais  rien de la manière de jouer au jeu. Je me suis vite mise à ignorer les combats et me perdre dans le décor. Un nouveau Mexique dans les années 60 dans des industries cartoon voire même surréalistes entouraient et faisaient même partie du terrain de bataille .Insensible au conflit entre les deux équipes, je me baladait dans les « maps », les savourant, en dépits de mon équipe qui me considérait comme un fardeau due à mon manque d’intérêt pour le combat.

C’est donc à partir d’une histoire d’amour avec l’ambiance du jeu que le lien fort entre moi même et ce dernier est né. J’ai donc retransmit cette émotion, à travers d’une version simplifié du jeu, dans lequel on contrôle un personnage dans un petit décors inspiré de ce dernier, sans combat d’aucune forme, car c’est à cela que ressemblaient mes premières parties. Ce jeu semble dénué d’intérêt, mais si vous portez ce jugement à ce projet c’est que vous auriez probablement juger de même de ma manière de jouer lors de la découverte du jeu.

Depuis, j’ai appris à envisager le jeu plus loin que ses décors; Après avoir appris à apprécier les personnages pour leurs originalité et humour jamais vu auparavant, je me suis mise à comprendre et prendre la main sur l’aspect gameplay du jeu, pour devenir aujourd’hui une joueuse avancée. Je me suis ouverte à la communauté du jeu, une communauté qui est par ailleurs créative et à l’origine de milliers de machinimas créés à partir de ressources mises à disposition par les créateurs du jeu, dont je vous recommande de regarder.

Par ailleurs, d’autres œuvres sont centrées sur l’errance. Diorama III proposait une expérience inédite au joueur : Ce dernier est livré à lui-même dans un monde ouvert désertique presque vide. Tout les joueurs sont confus lorsqu’ils jouent au jeu, il s’attendent à avoir un objectif, à devoir se rendre sur un lieu, mais la seule expérience qu’ils peuvent tirer de l’oeuvre est de se balader sans but dans ce triste décor.

Pasta gang

Avec Valentin, Martin, Jade , Ludovic, Louise, Julie et moi même nous avons décidé de faire un rap sur le thème du geek art.

Dès le début nous avons entamé une recherche d’une instrumentale dynamique et dans le thème du jeux vidéo. Nous sommes tombé très vite sur le son « last battle » qui était libre de droit (https://www.youtube.com/watch?v=voKm2uME-cw). Il nous a de suite plus et nous avons dès lors commencé à travailler nos paroles.. Nous avons décider de partir sur des paroles de rap qui faisaient référence à des jeux vidéo, ou mangas …

Martin, Jade et Ludovic avaient déjà des bases d’écriture et ont pu nous aider pour écrire nos couplets. Après 2 bonnes semaines, les paroles et leur positionnement dans la chanson étaient fini, il fallait enregistrer. J’était personnellement très anxieuse de cette partie car je n’avais jamais chanter. Au final j’ai trouvé ça très entraînant, et j’ai appris de nombreuses choses sur la prise de son ;par exemple avec un micro et un anti-pop ( diminue les bruit de bouche ). J’ai appris un trouver le rythme dans une mélodie.  Au final, ça a été une de mes partie préféré.

Martin et Jade se sont donc ensuite occupé du mixage. Et c’est à ce moment là que j’ai réalisé la complexité de notre projet: nous avons dût ré-enregistrer pour faire des backs. On m’a expliquer que c’était pour donner de la profondeur à une chanson, ensuite j’ai vu la difficulté d’associer et harmoniser tout les couplets qu’on avait fait.

Lorsque le mixage fut à peu près fini nous nous sommes donné rendez-vous à la Défense pour filmer le clip. C’était un lieu pratique pour sa location par rapport à nous mais aussi pour sa diversité de décors.  Ce fût juste un  moment de plaisir, nous mettions la musique dans la rue et chantions et dansions pendant que Valentin nous filmais. Valentin étant qualifié dans les clips vidéos, il réalisât très rapidement un super montage où il ajouta de plus de nouvelles références geek art, par exemple le carapuce à 0:53 min.

   

*voici les backstages du tournage

 

Pour anecdote, notre rap se nome le « Pasta gang », car notre premier refrain parlait de pâtes :

« Jfais ltour du monde jsuis comme mario

Jtourne en rond avec mon bigo

Si vraiment y a rien dans le frigo

Fait ton choix carbo ou bolo »

 

Mais nous avons décidé par la suite de le modifier pour plus se tourner vers le geek art..

Pour conclure, je suis très heureuse d’avoir réalisé ce travail. Même s’il était long et difficile, j’y ai appris beaucoup de choses sur plusieurs domaines (audio et visuel). Je retiendrai donc surtout le moment des enregistrements où j’ai appris à écrire des paroles, utiliser un micro et ses outils, prendre un rythme et surtout voir chacun interprété la musique à sa façon.

 

 

Voici les paroles:

Valentin:

Ça commence fort comme dans red dead redemption

Ton rap c’est comme mon coca il est pas très  frais 

demande à vector comment monter sans pression   

les résultats au bac c’est pas trop ce que jattendais

chuis pas la pour déconner 

mon équipe c’est la team rocket

on m’avait dit frappe pile dans le nez 

on m’avait dit clique pour l’terminer

Je suis pas la pour déconner 

Mon équipe c’est la team rocket

On m’avait dit frappe pile dans lnez

On m’a dit clique pour lterminer

Tas siffler la moitié du Pérignon 

Tas un Pokémon bcp trop mignon

Jsurf en y comme Locklass 

Tu fais plus peur que Fantômas

 

Louna:  

L’inspi est pas trop la 

Mais on va faire avec ce qu’on a

J’suis comme Pac-Man dans les Pokémon 

J’suis comme perdue sans mon téléphone 

Depuis le dééébut du DUTE 

J’me demande c’que j’fous ici 

Je sais pas pouuuurquoi j’me bute 

A l’esthétique, l’infographie

 

Jade:

J’suis comme Shikamaru je pose des pièges et comme t’es con bah t’es tombé dedans

Kakashi Hataké ta garde est levée t’as pas l’temps de capter je te casse les dents

T’es comme le D de débutant

T’es comme usopp t’es décevant

Pourquoi tu me fais perdre mon temps?

Tu sais juste te prendre des vents

 

Yayayayaya je flex sans Rolex

Yayayayayaya ça t’laisse perplexe

Yayayayayaya j’sais pas faire de texte

Yayayayayaya mais vas-y je test

 

Refrain(X2)

Jfais ltour du monde jsuis comme mario

Jtourne en rond avec mon bigo

Si tu vient m’voir et que tu fait l’chaud

Sur Fifa jte met 4-0

 

Ludo:

J’arrive dans l’iut

 pas le temps de respirer

Venus bug j’ai trop la haine

Y’a quoi à rendre cette semaine

La route est vraiment longue,  longue vraiment difficile 

Hamza et Bilal sont en exil (C’est Bilal x3)

Dans la vallée des gorons jmédite 

Ocarina dans la poche, jlévite 

Tout les jours la haine me chasse

On veut mon stuff, on veut ma place (yah)

Bitch jt’enchaîne comme kirua 

Bitch jtenchaine comme blanka (sale)

Diamants dans le sac à dos

Chaque jours on mouille lmaillot

Igo si t’as le cran de me test 

Jsuis posé sur le mont Everest

 

Julie:

On est chaud comme naruto  

Comme Sasuke on va pas blaguer

Là on est dans l’sas avec Kabuto 

Mais c’t’abruti a forgot la mayo

Les ennemis on les tabasse 

Gangkidama dans leur hass

Trop côté comme Hatake

Sah j’me suis jamais faite attaquée

C’est pas moi qui gère le rainté 

Mais c’est moi qui ai la monnaie

Là j’suis dans l’bendo avec Tenten 

Et on fait que  gray des McChicken

Sah crois moi que j’ai la haine (x2)

j’ai marave ma paire de tn (x2)

 

Refrain(X2)

Cosplay vs Reality : Compte Rendu

Vers l’article du geek art

Pour le sujet du Geek-Art, mon binôme Anaïs et moi avons réalisé une vidéo qui a été filmé pendant deux conventions différents, pour le but de montrer le contraste entre 2 aspects d’un même cosplayeur: dans son « roleplay » contre « naturel »/ »hors roleplay ».

Le choix du sujet

Mon rapport au cosplay : L’idée principal que j’aimerais faire passer

Tout d’abord, nous avons choisi de travailler sur le cosplay car c’est un sujet qui nous intéresse toutes les deux. Le cosplay est un de mes loisirs principales. C’est une activité qui est très important pour moi car elle m’a appris beaucoup de choses (compétences en maquillage, couture, poses) , elle m’a donné beaucoup d’expériences (faire connaitre les amis qui me sont très chères, faire voyager dans différents régions de la France et également à l’Etranger…)

Une amie italienne du virtuelle que j’ai pu enfin voir IRL cette année lors de la Lucca comics & Games 2019. On s’échangeait régulièrement sur Instagram pendant plus qu’un an.

Les amis que j’ai rencontré grâce au cosplay. (Gauche : in cosplay / Droite : out of cosplay)

(on s’amuse bien!)

Le cosplay m’a donné plus d’estime de soi (face à la caméra, comment se tenir, sociabilisation avec d’autres cosplayeurs, être appréciée…). Cependant, je sais qu’au fond de moi, c’est un grand moyen de fuguer de ma vie actuelle et de la réalité qui sont assez chaotique.

Le cosplay ne représente pas la même chose pour chaque cosplayeur. Pour moi, il est important d’avoir l’aspect visuel agréable, c’est à dire de bien faire son costume, sa perruque et son maquillage. Mais il ne faut pas s’arrêter à cela. Après plusieurs années dans le milieu du cosplay, je me suis rendu compte que l’aspect du « roleplay » ou l’incarnation du personnage est ce qui m’intéresse le plus. C’est à dire qu’actuellement je choisis de faire le cosplay des personnages que je trouve « drôle/intéressant » à incarner plutôt qu’un personnage que j’aime le plus ou un qui me plaît bien visuellement (ce qui correspond à la fugue). C’est pourquoi lors que je fais du cosplay, (c’est à dire dans la plupart du temps pendant des conventions), j’imite la démarche des personnages, leur façon de parler, de bouger etc. En bref, je les incarne dans la mesure du possible, et même dès fois inconsciemment. Le roleplay me permet en quelque sorte de devenir quelqu’un d’autre, pas forcément un héros. Cela peut être le cas d’un antagoniste, mais dans lequel je me sans à l’aise. Mon objectif est alors de la satisfaction personnelle mais également de faire plaisir aux personnes qui adorent les personnages en question, qui sont ravis de voir leurs personnages préférés devant leurs yeux.

Mon cosplay du personnage de Diavolo de Jojo’s Bizarre Adventure. C’est le cosplay qui m’a fait plus progressée en maquillage, couture (premier cosplay fait entièrement par moi), stylisation de perruque et des poses.

Malgré tout, à l’intérieur de la tenue, sous le maquillage, on reste nous même et on ne peut pas complètement devenir un personnage. On a ainsi choisi pour le projet de faire le contraste entre « expectations » (ce que l’on attend de voir) et « reality » (la réalité) car le décalage entre ces deux notions nous semble intéressant à montrer.

Expectation vs Reality

Le choix du support

On a choisi de faire une vidéo pour rappeler/faire une parodie des CMVs (cosplay music video) qui sont des vidéos tournés lors des convention également, mais pour mettre en valeur des cosplayeurs immergés dans leurs univers. (D’ailleurs j’ai déjà participé dans un CMV (2:13) (le personnage tout à gauche)) De plus, on trouve que grâce au format vidéo, on a la possibilité de voir les mouvements du cosplay depuis plusieurs angles différents, et également d’accentuer le décalage cosplay/reality avec la présence d’une musique de fond et des filtres d’images en montage vidéo.

Les autres inspirations

Hotaru cosplayer

C’est une cosplayeuse venant de Luxembourg. C’est son cosplay de Yurio de l’anime « Yuri on Ice » qui me l’a fait connaitre en 2016. Elle m’a donnée envie de reprendre le cosplay (après mon arrêt initialement définitif) pour aller la voir à la Japan Expo 2017 car c’était la seule occasion possible.

Ce que j’aime bien dans ses cosplays est qu’elle prête beaucoup d’attention aux détails du costume et du maquillage, en restant sur un visuel naturel et agréable à voir. J’aime beaucoup ses vidéos qui montre son roleplay également. Cependant, même si je l’ai connue par le biais du cosplay, actuellement je l’apprécie en tant qu’une personne et non seulement pour son formidable travail.

Cao Fei cosplayer

Notre professeur d’esthétique et expression artistique Mme Daste nous a conseillées de faire des recherches sur cette cosplayeuse. En effet, elle a réalisé une collection de photos de cosplayeurs sérieux, en train de faire des poses de leur personnage, mais en désaccord avec leurs environnements. Cela va dans le même sens que le l’idée que nous souhaitons mettre en oeuvre. Ses photos nous a permis alors de mieux visualiser ce que l’on pourrait concevoir.

Le tournage

Le premier (but : l’évolution des cosplayeurs pendant une convention) : On s’est donné rendez-vous avec Anaïs et les deux invités Sofia et William chez moi pour se préparer et et filmer la préparation. Sofia et moi faisait les cosplay des personnages Norman et Ray de l’anime/manga The Promised Neverland. Ensuite, nous avons mangé à moitié en cosplay puis nous avons pris des transports. On a beaucoup filmé cette phase de préparation. William s’est habillé sur place. Il a eu plus de compliments et de réactions sur sa tenue plus que nous tous. La convention se déroule, on a passé la plupart de notre temps dans l’amphithéâtre pour le karaoké (je les ai obligé en quelque sorte car c’est une obsession pour moi et je voulais pas louper mes chansons préférées). Plus la nuit passe, plus on était avait sommeil et finissaient par s’endormir sur les tables de l’amphithéâtre. Anaïs nous filmais toutes les heures. Vers 6h on se détransformait et quittait la convention, telle que des zombies.

Le deuxième (but : cosplay vs reality) : Cette fois ci nous avons commencé à filmer une fois arrivées sur place. On a surtout demandé aux autres cosplayeurs d’être filmés pendant leurs roleplay puis pendant qu’ils faisaient une pause ou qu’ils ajustaient leurs tenues par exemple. On a fini avec moins de rushs que la première convention, mais qui sont plus utilisables car on a une idée plus claire de ce qu’on souhaitait obtenir. 

En général lors des conventions, ma routine était de retrouver mes amis cosplayeurs ou des cosplayeurs qui m’inspirent et passer du temps à discuter ou faire des photoshoots avec eux. Je visite occasionnellement les stands des artistes amateurs. L’Epitanime Nocturne (le premier tournage) était la première convention que j’ai passé avec les amis que j’ai rencontré hors du cosplay. On passait plus de temps sur les stands pour s’amuser entre nous, je n’étais pas toujours pressée de courir après d’autres cosplayeurs et on a pu discuter avec les personnes qui nous a laissé filmer pour le projet.

Commentaires

A l’origine on voulait travailler sur un sujet plus large. On avait également envie de montrer le contraste entre le début et la fin d’une convention. C’était notre but pour la convention Epitanime nocturne, car elle durait pendant la nuit et longtemps. Elle aurait pu bien montrer le dévoilement de la personne qui porte le cosplay au fur et à mesure que la nuit se déroule avec la fatigue. Malheureusement, c’était notre premier essai et on a pas eu assez de contenu pour reconstituer une vidéo, donc on a décidé de se concentrer sur « cosplay vs reality » et intégrer les séquences de la première convention dedans.

J’aurais bien aimé avoir une meilleure qualité de la vidéo (façon de filmer) et le montage. Malheureusement avec le délai qui a été un peu court à cause de la date des conventions et le fait de pas avoir assez de matériel (logiciel de montage, appareil pour filmer..).

Ensuite, on a pas pu mettre tout ce qu’on a filmé car dans la première convention, certains rushs ne correspondent plus au sujet. Dans la deuxième convention, certains cosplayeurs étaient pas assez détendus pour la partie « reality ». Ils étaient encore dans le roleplay du personnage mais dans une situation moins sérieux. Mais cela montre que la façon de se comporter de certains sont influencés par leurs tenues.

Ce travail m’a permis de voir les conventions d’une manière différente, d’apprendre à m’exprimer à l’oral et communiquer plus efficacement avec les personnes. Et j’ai surtout passé des bons moments avec mes chers amis et les personnes qui ont contribué à ce projet.

-Pitcha T.

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