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Wander Fortress 2D

Lien vers l’article du projet

 

Team Fortress 2, une franchise qui me tient à cœur, est le centre de ma création.

Lorsque l’on vous dit ce qui a plu dans un jeu de tir, vous vous attendez à entendre des éloges du système de combat du jeu ou encore le charisme des personnages. Ce n’est cependant pas ce qui m’a séduit et poussé à jouer à un jeu auquel je joue toujours aujourd’hui. En effet, ma première expérience, il y a quelques années, à ce jeu ne contenait pas de gameplay, mais seulement l’écran de chargement :Mon frère, l’ayant récemment installé avait lancé une partie ,se retrouvait dans le susdit écran; C’est à ce moment précis que le jeu m’interpella,j’étais en effet sensible en ce qui pourrait paraître comme un détail: Le fond. Un décors industriel, les quelques cheminées, réservoirs et tapis roulants en style cartoon et ombres chinoises m’ont conquis.

Jusqu’à là je ne connaissait que des fps qui nous mettaient dans une ambiance fantaisistes, réalistes ou futuristes. L’idée de se battre dans un environnement industriel cartoon me paraissait nouveau et me plaisait à un tel point que je j’installa le jeu sur mon ordinateur. Bientôt, je lançai le jeu et me mis à chercher une partie, bien que je ne connaissais  rien de la manière de jouer au jeu. Je me suis vite mise à ignorer les combats et me perdre dans le décor. Un nouveau Mexique dans les années 60 dans des industries cartoon voire même surréalistes entouraient et faisaient même partie du terrain de bataille .Insensible au conflit entre les deux équipes, je me baladait dans les « maps », les savourant, en dépits de mon équipe qui me considérait comme un fardeau due à mon manque d’intérêt pour le combat.

C’est donc à partir d’une histoire d’amour avec l’ambiance du jeu que le lien fort entre moi même et ce dernier est né. J’ai donc retransmit cette émotion, à travers d’une version simplifié du jeu, dans lequel on contrôle un personnage dans un petit décors inspiré de ce dernier, sans combat d’aucune forme, car c’est à cela que ressemblaient mes premières parties. Ce jeu semble dénué d’intérêt, mais si vous portez ce jugement à ce projet c’est que vous auriez probablement juger de même de ma manière de jouer lors de la découverte du jeu.

Depuis, j’ai appris à envisager le jeu plus loin que ses décors; Après avoir appris à apprécier les personnages pour leurs originalité et humour jamais vu auparavant, je me suis mise à comprendre et prendre la main sur l’aspect gameplay du jeu, pour devenir aujourd’hui une joueuse avancée. Je me suis ouverte à la communauté du jeu, une communauté qui est par ailleurs créative et à l’origine de milliers de machinimas créés à partir de ressources mises à disposition par les créateurs du jeu, dont je vous recommande de regarder.

Par ailleurs, d’autres œuvres sont centrées sur l’errance. Diorama III proposait une expérience inédite au joueur : Ce dernier est livré à lui-même dans un monde ouvert désertique presque vide. Tout les joueurs sont confus lorsqu’ils jouent au jeu, il s’attendent à avoir un objectif, à devoir se rendre sur un lieu, mais la seule expérience qu’ils peuvent tirer de l’oeuvre est de se balader sans but dans ce triste décor.

TeamFortress-2D

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A décompresser et lancer.

Brazil : Un 1984 moderne.

Brazil :film sur une société plutot que sur un personnage

Brazil est un long métrage sorti en 1985 et réalisé par Terry Gilliam, avec comme acteur Robert de Niro.

Brazil est un film qui parle d’une société où les normes dépassent les humains : On y rencontre Sam Lawry, un employé aux réseaux d’intelligence « Central Services ». Cet homme rêveur se retrouve malgrès lui enemi de l’état lorsqu’une érreure admnistrative, par un effet papillon, l’empêche de retrouver la femme de ses rêves, Jill Layton.

Une société rétrofuturiste oppressante

Jusqu’à là, Brazil semble être un film ordinnaire, mais la raison pour laquelle ce film est unique est qu’il nous transporte dans une société retro-futuriste surréaliste et dystopique.

Terry nous offre un niveau de détail  suppérieur à grand nombre de film, et le côté surréaliste offre une vision nouvelle et osée de notre société ,car si le personnage est un element important de l’histoire, c’est bien l’arrière plan du film qui nous donne des frissons:

Nous avons une image froide, causé par la dominance de la couleur bleu et l’architecture en béton et acier des batiments ainsi que la dominance d’élements industriels dans les objets.

L’immersion dans cette société fictive est d’autant plus important que lorque nous sommes confrontés aux propagandes disséminés partout dans le film et qui ont une pour sourced’inspiration les premières propagandes anti soviétique lors de la guerre froide :ont a une forte référence au « big brother is watching you ».

D’autant plus que la société est centralisé dans la surveillance de ses citoyens :au début du film, on apprend que les services d’intelligence de ce monde fictif représentent environ 6% de son PIB. Sam Lawry lui-même y travaille, on a donc un panorama des activitées entreprenues de la surveillance par caméras des personnes à la torture des énemies de l’état, en passant par la collecte d’informations personnels sur les citoyens.

On retrouve par ailleurs dans le film  des technologies de différentes époques, qui varient des années 50 aux années 80 (écrans cathodiques, système de transmission d’information par pneumatiques, importante paperasse…) qui donnent une dimension unique et surréaliste au film ainsi qu’une attention aux détails poussé à l’extreme. La date et le lieu du film n’est pas donné, l’oeuvre peut parraître daté mais on peut appliquer son histoire à n’importe quelle époque et n’importe quel lieu.

Une dimension onirique intéressante

Les péripeties du film sont déclenché par un élement important du personnage de Sam Lawry :Ses rêves.

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Le rêve de Sam, qui est de vivre une relation amoureuse, est incompatible avec la société dans laquelle il vit. Il s’évade par conséquence dans ses rêves, dans des scènes surréalistes et haut en couleurs, du moins au début du film. Il y incarne un héro délivrant une demoiselle des griffes d’une représentation déformé par son imagination de la société dans laquelle il vit. Il reste cepandant distant du vrais monde, qui le considère ironiquement même dépourvu d’ambitions et de rêves.

On le voit porter une armure dotée d’ailes, une image qui reste iconique au film.

Terry critique dans son film ces hommes qui préfere vivre dans leurs rêves plutot que se battre dans la réalité. le film peut illustrer comment le déni peut laisser s’installer des formes de pouvoir oppressantes, on pourrait faire sur ce film une comparaison à la réaction de l’Europe face à la montée du faschisme, comme dans le roman de Ionequo « Le Rhinocéros ».

Autre sujets abordé par le film

La recherche du saint grâle :La chirurgie ésthetique.

Terry traite dans son film de l’importance du paraître jeune dans la société, la mère du personnage principale porte un intêret important pour son physique et s’est décidé a utiliser la chirurgie. Ce sujet est récurent dans le film et devient même un élement comique lorsquau fur et a mesure son amie qui suivait un traitement chirurgicale voit sa santé se déterioré a cause de celui-ci et finit par mourir.

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Ce film qui laissa Celeste marqué

Ce film …Quel film…

Ce film est l’oeuvre qui m’a permit de me rendre compte mon goût pour le surrealisme, maintenant ce n’est pas la première création surrealiste auquel j’ai eue affaire, il y avait auparavant Le Roi et l’Oiseau ainsi que The Wall, mais ce film m’a reveillé, mieux :il m’a fait voire d’un oeil noeuf les oeuvres précédemments cités.

Il m’a de même fait découvrir les possibilitées rétro futuriste, qui s’étaient pour moi limités au Steam Punk. Je m’ammuse maintenant à être une ingénieur d’un monde fictif, et construit avec des technologies d’une époque passées…

Ces dessins réalisés par moi-même sont des exemple de l’inspiration que ce film m’a donné :

~Celeste Casalotti

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