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La saga Mario Kart

Le principe du jeu est extrêmement simple :

C’est un jeu de course ou le but et de finir premier sur les 8 à 12 joueurs présents sur la course au fil des opus à travers 3 tours de circuit mouvementé et imprévisible et tout cela à travers différent circuit sa basant sur l’univers de Mario. Mais ce qui rend le jeu unique en son genre, d’autant plus lors de sa création, c’est la possibilité d’avoir des objets. Ces objets sont à la offensifs, défensif voir même stratégique.
Sur la courses, des lignes de blocs transparents marqué d’un point d’interrogation se mettent en travers de votre route. Lorsque vous les traversez, vous obtiendrez un objet qui vous permettra de vous aidez à atteindre le sommet du podium !

Au fil des années, certains objets sont aujourd’hui symboliques pour le jeu et se trouvent être présent dans chaque opus. En revanche, certains objets ne sont pas réapparut dans les opus plus récents pour en ajouter de nouveaux. (Ex: Fausses boite à objets, Nuage Zap, bloc POW, Boules de feu, Boo remplacés par Super Klaxon, Atout 7, Grand 8, Fleur Boomerang etc)

 

L’épisode ayant connu le plus grand succès est Mario Kart Wii , le sixième opus, avec 35 620 000 ventes à travers le monde ! Le second est Mario Kart DS, le cinquième opus, avec 23 230 000 ventes

 

Le jeu se trouve être très divertissant et très amusants, seuls, ou entre amis en multijoueur mais il se présente être aussi assez frustrant, énervant voir même rageant à cause de la partie assez aléatoire du jeu qui rend chaque course unique et développent des situations improbables !

L’origine de Mario Kart :

La licence Mario Kart remonte dans les années 90 ou le premier opus intitulé Super Mario Kart fût publié en 1993 sur Super Nintendo, console de salon commercialisée à partir de 1990.

Le jeu était alors composé de 8 personnages jouable à savoir Mario, Luigi, Peach, Yoshi, Toad, Bowser, Koopa et Donkey Kong Jr.

Le jeu comportai aussi une vingtaine répartis en quatre coupes de cinq circuits chacune.

Le mode bataille était déjà apparu et avais quatre arènes à son compte.

Les modes de jeux, parlons-en !

Au fil des années, différents modes de jeu on fait leur apparition :

  • Le mode Grand Prix ! C’est le mode de jeu le plus connu et se trouve encore aujourd’hui être le mode principal de la série.
    Il existe également des modes de difficultés qui elle ne sont pas classés par coupe mais par cylindrée des véhicules. Plus la cylindrée est élevée, plus les karts sont rapides et la difficulté s’accroit :

    •  50 cm3
    • 100 cm3
    • 150cm3
    • Miroir (150cm3 ) depuis Mario Kart 64 : les circuits sont inversés
    • 200cm3 depuis Mario Kart 8 :
  • Contre la montre
  • Course VS
  • Bataille
    • Bataille de ballons (toute la série)
    • Explosion Bob-Omb (Mario Kart Double Dash!! et Mario Kart 8 Deluxe)
    • Voleur de soleil (Mario Kart Double Dash!! et Mario Kart 8 Deluxe)
    • Pilotes soleil (Exclusif Mario Kart DS)
    • Chasse aux pièces (Mario Kart Wii, Mario Kart 7 et Mario Kart 8 Deluxe)
    • Traque sur la piste (Exclusif Mario Kart 8 Deluxe)

 

L’évolution de la Saga :

Au premier Mario Kart, le joueur prenais son personnage et son kart adéquat en en avant les histoires !

Au fil du temps, le nombre de personnages, de karts et d’autres éléments ont augmentés ou fait leur apparition.

Ensuite, Mario Kart Double Dash!! à développer et garde l’exclusivité encore aujourd’hui de pouvoir avoir deux personnages dans le même Kart et donc jouer en coopération !

Mario Kart DS ajouta les statistiques des Karts : vitesse, accélération, poids (en fonction du personnage aussi), maniabilité, hors-piste, dérapage et mini-turbo.

Mario Kart Wii apporta d’une part le fait de pouvoir piloter une moto en plus du kart. D’autre part il à aussi implémenter le principe des « saut synchro », c’est-à-dire le fait de faire une petite figure lorsqu’un personnage passe un tremplin et gagne grâce à cette dernière un micro boost de vitesse.
Ce fût également l’apparition de le Chaîne Mario Kart qui permettait au joueur de participer à des concours mais également de consulter le score du joueur ainsi que ceux du monde entier, permettant alors de comparer les score au contre-la-montre.

Mario Kart 7 apporta une nouveauté majeur au gameplay, à savoir la possibilité de conduire en l’air et sous l’eau, ce qui était chose qui était tombé à l’eau jusqu’à présent, grâce à un deltaplane disponible sous différente forme.
Il apporta une seconde nouveauté majeur ! En effet, depuis cet opus et inchangé depuis, il est devenu possible de personnalisé son véhicule (châssis, roue et ailes) avec le personnage que le joueur souhaite.
Concernant le monde Grand Prix, il a été pimenté par le retour des pièces ! En effet, afin de sévir la médaille d’or, en plus de viser la première place, il faut récolter dix pièces d’ici la fin de la course ! Chose par toujours facile à faire et présente ainsi une difficulté supplémentaire.
Les courses ont d’ailleurs été pimenté par l’ajout d’un second slot pour les objets. Lorsque le joueur frappe une boite, il aurait alors deux objets à la foi ! Ce qui dynamise fortement la course, et la rend par ailleurs vite anarchique.

Mario Kart 8 apporte quant à lui l’innovation de l’antigravité. Ce tout nouveau mécanisme de jeu permettant au joueur de rouler sur les murs et au plafond.

Le dernier de la saga sur console est Mario Kart 8 Deluxe. Il apporte des améliorations vis-à-vis de son prédécesseur et se présente être la version final de ce dernier.
Le jeu regroupe alors une trentaine de personnages et comporte un mode en ligne. Le joueur participe alors à des courses ou à des batailles à douze joueurs et à la possibilité de partager des courts extraits de vidéos de partie qu’il à joué via la chaîne Mario Kart TV.

Et enfin arriva tout récemment le dernier opus de la série : Mario Kart Tour !

Cet opus est le premier de la série à se présenter comme un jeu mobile au lieu d’être, comme à l’accoutumé, sur une console. Il perd l’organisation des précédents opus et se présente sous la forme de coupe à débloquer le temps d’une saison qui est de deux semaines le plus de coupes possibles afin d’amasser le plus d’étoiles possible (qui disparaissent à la fin de la saison) permettant de gagner des cadeaux qui donnent des pièces, des rubis, des personnages, des karts ou encore des ailes.

Le jeu divague assez de ces prédécesseurs puisqu’il existe un seul et unique mode de jeu.
Il se base sur un système de compétition réparti sur une saison. Chaque semaine à pour attribution une coupe ou le but étant d’avoir le plus de points possibles sur les courses afin de se positionner au plus haut dans le classement dans l’optique de monter aux ligues suivants.

Pour gagner ces points, sur une course donnée d’une coupe, le joueur doit effectuer le plus d’action possible, finir premier et effectuer des enchaînements (combos) afin de multiplier les points. Chaque course à un personnage, un kart et une aile référents.
Dans l’idéal, le joueur possède alors un multiplicateur x2 de points d’actions et de combos, et le personnage peut avoir jusqu’à 3 objets dans une boite !

Ce qui amène une nouveauté : le mode frénésie !
Elle permet, lorsqu’un joueur obtient dans ces trois cases le même objet, il deviens alors invincible durant un court instant (c’est comme si le joueur prenait une étoile) et à le moyen d’utiliser autant de fois qu’il souhaite l’objet qu’il à obtenus.

Les courses sont différentes entre les coupes mais reprennent des circuits récurrents mais sont exploités différemment.  Certaines courses seront en mode miroir, d’autre en contre sens, d’autre accompagné de divers éléments particuliers (booster de vitesse, circuit dérouté dans le ciel, tremplin sur la course…)

 

Un jeu mobile diffère bien entendu d’un jeu console, la maniabilité change et se présente être délicate, bien que les développeurs ait fait le nécessaire pour adapter la maniabilité et faire en sorte que le jeu soit jouable.

Ce jeu à du mal à se faire accepter aux vues des joueurs mais une chose est sûr, un bon Mario Kart console est largement plus agréable et plaisant que Mario Kart Tour. Ce jeu n’est pas mauvais, simplement différemment exploité.

 

Cette licence donnera du rêve durant les années à venir, Nintendo à pu le démontrer au fil des années passées !

Dragon ball

HISTOIRE

Le manga dragon ball a été écrit en 1984 par akira toriyama. Dans ce manga ou cet animé, on suit l’histoire d’un jeune garçon nommé goku de l’enfance a l’age adulte. On suit ses aventures, ses rencontres avec ses futurs alliés et ses ennemis et ses combats.L’histoire officielle est divisé en 3 animés(Dragon ball, Dragon ball z et Dragon ball super. Le nom de l’anime vient du fait que beaucoup de personnages cherchent des boules spéciales qui permettent d’invoquer un dragon qui peut exaucer des voeux comme par exemple ressusciter une personne. On apprendra dans l’anime que goku et beaucoup d’autres personnages ne viennent pas de la planete terre. La spécialité de cet animé est la transformation( changement de coupe et couleurs de cheveux ou transformation corporelle) et les fusions.

Arcs:

-Entrainement de Goku

-Armée du ruban rouge

-Roi piccolo

-arc saiyans

-arc namek

-arc cell

-arc buu

Division en 3 animés

Comme dit plus haut l’animé Dragon ball est composé de 3 animés en suite logique :

-Dragon ball(Db): On suit les aventures de goku enfant de sa rencontre avec bulma au combat avec le roi démon Piccolo

-Dragon ball(Dbz): Il s’agit de la suite logique de db on l’on peut voir goku, jeune père de gohan ( référence a son grand pere adoptif) et mari de chichi. L’animé dure de l’arc saiyan où goku va apprendre ses vraies origines à l’arc buu.

-Dragon ball super(dbs): La suite logique de dbz va bientot continuer. Dans cet animé, Goku a 2 fils ( le deuxieme depuis l’arc cell de dbz) et il apprend avec la team z ( lui et ses amis guerriers) le fait qu’il y a en tout 12 univers qui ont chacun un dieu de destruction, un ange,et des kaios. Pendant cet animé, ils apprendront, goku et son rival vegeta, de nouvelles transformations toujours plus puissantes au fur et a mesure des combats.

 

Les films:

 

Gravity Rush

Gravity Rush, premier du nom, est un jeu originellement sorti sur la PS Vita en juin 2012. Il a été remasterisé sur PS4 en 2016 et sa suite, Gravity Rush 2, est sortie en 2017 sur PS4 également. Ces  jeux ont été développés par Japan Studio, un  studio connu entre autre pour les jeux Shadow of the Colossus, The Last Guardian ou encore l’excellentissime Kung Fu Rider (vraiment, j’adore ce jeu). Il a été réalisé par Keiichiro Toyama, connu pour la saga horrifique des Silent Hill. Comme son nom peut l’indiquer, le concept de jeu est basé sur la gravité qui jouera un rôle primordial dans l’histoire mais sera aussi à la base des mécaniques de jeu, uniques en leur genre. Tout cela se déroulant dans un monde aussi original qu’étrange, accompagné d’une bande-son incroyable.

Image présente sur la jaquette de Gravity Rush (PS vita)

• Synopsis de Gravity Rush 1 :

Kat, une jeune fille amnésique, se réveille dans une ville qui lui est inconnu du nom d’Hekseville. Elle y rencontre Poussière, un chat étrange qui lui permet de contrôler la gravité à sa guise. Grâce à ses nouveaux pouvoirs, Kat se décide à venir en aide aux habitants d’Hekseville, qui sont en proies à de terribles tempêtes gravitationnelles et aux monstres qu’ils apportent : les névis.

 

• Mécaniques de jeu :

Comme dit plus tôt, les mécaniques principales de ce jeu sont basées sur le phénomène de gravité, que Kat va pouvoir contrôler grâce à Poussière. Kat peut donc changer la direction dans laquelle agit la gravité, ce qui lui permet de marcher sur les murs, plafonds, etc ou encore de se laisser tomber dans une direction précise (pour faire simple c’est comme si elle volait). Ce pouvoir lui est aussi utile en combat : il lui permet de faire flotter des objets et de les jeter sur ses ennemis, voire même de créer de petits trous noirs. Evidemment, ces pouvoirs ne sont pas sans limite puisque votre jauge « de pouvoir » se vide au fur et à mesure que Kat modifie la gravité continuellement. Cette jauge se recharge au bout d’un certain temps, mais il est possible d’améliorer les pouvoirs de Kat, ce qui permet de faire en sorte que la jauge se vide moins vite et se recharge plus vite. Au fur et a mesure de la progression dans le jeu, la jauge devient donc quasi-négligeable et le joueur peut explorer et parcourir le monde de Gravity Rush sans limite.

Gravity Rush (PS vita) : Kat marchant aux murs (pour se repérer les cheveux et l’écharpe de Kat tombe selon la « vraie » gravité)

• Univers :

Gravity Rush se déroule dans un univers fictif original. Hekseville, lieu principal du premier jeu, est une ville flottante construite sur un pilier gigantesque, appelé « Pilier du monde ». L’ambiance présente dans le jeu varie énormément en fonction du lieu dans lequel on se trouve, celle-ci peut-être festive comme pesante, ou encore mystérieuse. Cela est entre autre permis par la bande-son excellente, qui renforce l’imprégnation du joueur dans le jeu. La narration dans l’histoire se fait partiellement sous forme de BD qui viennent s’ajouter aux dialogues, ce qui donne plus vie au personnage et renforce une nouvelle fois la qualité artistique de ces jeux. Gravity Rush nous présente aussi une variété de personnages tous plus intéressants les uns que les autres. Ces personnage sont tous très attachants, bien écrits et ont retrouve dans chacun d’eux la patte artistique propre à ces jeux (et pour les féministes, sachez que la plupart des personnages principaux sont des femmes fortes et indépendantes!).

Chara-design de quelques personnages centrales de Gravity Rush

• Avis personnel, ressentis du jeu :

J’ai découvert le premier Gravity Rush peu après sa sortie sur PS vita et ce jeu fut pour moi une révélation. C’était la première fois que je ressentais une telle sensation de liberté dans un jeu vidéo, puis j’ai été happé par son scénario, ses personnages, et son univers vaste et original. Gravity Rush possède un univers très énigmatique et de nombreuses questions sont soulevées tout au long des jeux, certaines voient leur réponses être apportées mais d’autres non, et il est également toujours possible de trouver soi-même quelques mystères et théories (ma passion secrète). J’ai passé des centaines d’heures, après a avoir fini le jeu, à me balader librement dans cette univers, fouiller ses moindres recoins, chercher des indices pour des théories que j’ai en tête et nombre d’autres activités ! Je ne peux que conseiller à chacun de se lancer dans la sublime aventure qu’est Gravity Rush. Si vous voulez plus d’informations, n’hésitez pas ! :^>

Celeste

Celeste est un jeu vidéo de plates-formes développé et édité par le studio Matt Makes Games, composé de Matt Thorson et Noel Berry. Le jeu est sorti sur Microsoft Windows, Linux, macOS, Nintendo Switch, PlayStation 4 et Xbox One le le 25 janvier 2018.

La jaquette du jeu Celeste

L’histoire

Le jeu est l’histoire d’une fille s’appelant Madeline qui est déterminé à gravir le Mont Celeste au Canada (qui est une montagne fictive). Plein de dangers et d’obstacles différents l’attendent. Elle va croiser durant son périple plusieurs personnages, une grand-mère moqueuse qui tente de la faire renoncer, un aventurier barbu adepte de selfies, ou encore le fantôme d’un maître d’hôtel un peu désordonné mais elle va également rencontrer son double d’elle-même maléfique.

Le jeu contient beaucoup de décors colorés et des musiques qui sont adaptés à l’ambiance et elles varient selon les niveaux et les chapitres. Voici quelques images tirés du jeu :

Différents décors pris dans le jeu

 

Mécaniques de jeu

Le jeu parait plutôt simple et ressemble à un jeu de plate-formes classique à première vue. En effet, Madeline peut sauter, « dash » s’accrocher, faire des sauts muraux. Cependant le jeu reste un platformer difficile où il faudra parfois mourir plusieurs fois avant de réussir un niveau (il y a même un compteur de morts dans le jeu). Les chapitres amèneront des obstacles et des mécaniques de jeux différentes qui feront que le joueur ne s’ennuiera jamais même en refaisant les niveaux. Il doit toujours réfléchir à ses actions avant de se lancer dans quelque chose. La difficulté s’accentuera au fil des niveaux et des chapitres.

Musique

La musique de la partie principale du jeu est composée par la musicienne Lena Raine, tandis que les niveaux faces B, qui sont débloqués via des tableaux cachés, ont été remixées par différents musiciens. Chaque chapitre ont des faces B et C qui sont différentes et encore plus difficiles que les niveaux de base. La musique contribue au joueur à rester calme face à tous les obstacles qui l’attendent.

Sens caché du jeu

En dehors du gameplay, Celeste parle de dépression, d’anxiété, de solitude, et de la difficulté à se réconcilier avec ses propres choix et ses propres erreurs. Plus on avance dans le jeu plus on en apprend sur elle. Le mont Celeste est une métaphore universelle des épreuves que chacun peut affronter dans la vie.

Prix reçus

Il a été très bien reçu par la presse dont certains lui accorderont la note maximale de 20/20 tels que Destructoid, IGN et Nintendo Life. Il a reçu le Best Independent Game, The Games Awards 2018 et le Games for Impact Award.

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« Le Test de Malveillance » est un Machinima réalisé par Lucas Bastard, Axel Lecourtois et Alan Hugonenq

Des scientifiques fous se sont lancés pour idées de tester la « malveillance » naturelle de l’humain. Mais ceux-ci obtiendront des résultats très particuliers…

L’humain apprend à respirer naturellement mais pas à être mauvais, c’est l’homme qui rend l’homme mauvais (ou un orteil dans un coin de meuble). C’est d’ailleurs pour ça que des scientifiques ont besoin de faire des tests, parce qu’ils « pense » que leurs cobayes sont « malveillants » (je pense donc je suis).

https://drive.google.com/file/d/1qZnQfq9hn8ToHRVuWtAY-tiDz-ZiZkrh/view?usp=sharing

Par Lucas BASTARD, Axel LECOURTOIS et Alan HUGONENQ DE LABONNEFON

Game Art Dedrie

Une petite affiche regroupant une grande partie des consoles auxquelles j’ai pu jouer. Énonçant un message, quelque soit la console sur laquelle on joue, en ligne ou pas, à des jeux qui ne plaisent pas forcément à tout le monde. On doit garder ce droit de pouvoir jouer a ce que l’on veut sans forcément que d’autres personnes nous critique lorsque l’on joue à des jeux différents.

Krys, vous allez vous aimer!

Krys, vous allez vous aimer !

Voici trois affiches. Elles sont inspirées par les affiches originales de l’entreprise Krys, les affiches originales ont souvent été parodiées avec des personnalités françaises connues. J’ai réalisé à l’aide de Photoshop et de Source Filmmaker ces posters avec des personnages plus ou moins connus du jeu vidéo dans la continuité de la parodie.

Source Filmmaker est un logiciel d’animation gratuit et mis en ligne au grand publique par Valve, les créateurs de Half-Life, Portal ou encore Counter-Strike. L’équipe de Valve à réalisé les trailers et vidéos de leur jeux à l’aide du logiciel. La communauté à l’occasion de mettre en ligne et de partager des modèles divers et variés tel que des personnages, des cartes, des particules etc…

Game Art Hmamouche / Peligry

 

Lors de cette fin d’année 2018 et début d’année 2019, les gilets jaunes ont fait couler beaucoup d’encre. Leurs revendications sont nombreuses et très diverse. De ce fait nous avons décidé pour ce game art de nous concentrer sur ce que l’on peut considérer comme l’élément déclencheur de cette crise : l’augmentation des prix du carburant.
Pour se faire nous représentons le mouvement des gilets jaunes dans une forme plus légère mais qui exprime quand même le mécontentement de cette population en les représentant les personnages de mario kart sur un circuit vêtus du gilet et jetant des bidons d’essence.

Retour vers le 7e art…

Kelvin Merlon

Ce geek art est basé sur l’histoire de « Retour vers le futur » où les deux personnages principaux (Emmett Brown et Marty McFly) voyagent dans le temps grâce à une machine à voyager dans temps réalisée avec une DeLorean.

En effet, dans la trilogie, les deux personnages voyagent dans le passé, dans le futur et reviennent dans le présent pour observer les erreurs qu’ils ont laissé.

Dans l’univers cinématographique, différents films se déroulent dans le passé, dans le présent ou dans le futur. Ici, les deux personnages vont, dès le début de l’histoire, aller dans un bien loin passé qui est l’univers de « Star Wars » puis ensuite fuir dans le futur où les robots de « Terminator » ont pris le pouvoir et enfin retourner dans le présent mais le grand Thanos (de l’univers « Avengers »)  a tué 50% de l’humanité.

Une histoire qui se finit donc beaucoup plus vite que le film initial…

Plusieurs clins d’oeil ont été ajoutés avec des répliques du film ou même les titres des films respectifs repris avec : « Retournons vers le futur » ou « Terminé ! » (Terminator).

Da Silva Marques Nelson

(Cliquer sur l’image pour l’agrandir)

 

J’ai vu dans la création d’un Game art la possibilité de créer un nouveau personnage en me basant sur certains de mes personnages favoris.

J’ai voulu créer un personnage d’une puissance inégalable, capable de vaincre n’importe quels humains, créatures ou même dieux. Ce dernier devait posséder des armes et des capacités légendaires. Je me suis alors demandé ce contre quoi il pourrait se battre; et quelle créature représente mieux la puissance qu’un dragon?

Le Dragonslayer (Tueur de Dragons en français) est alors né.

Il est basé sur le corps du Dieu de la Guerre Kratos; possède le visage mais aussi la puissance de One Punch Man. Il est équipé d’armes iconiques de la culture geek et reprend la posture et les capacités de Dovahkiin.

Accompagné de son ami Daxter le Dragonslayer parcours les terres enneigées de Bordeciel, un royaume en proie aux attaques de nombreuses créatures. Il compte bien y décimer tous les dragons, devenus la principale menace de l’humanité.

Dans ce Game art vous retrouverez des personnages, décors et objets issues de plusieurs médias (Jeux vidéos, Cinéma, Manga). Ces références sont tirées de: God of War / Harry Potter / Monster Hunter/ Assassin’s Creed / Zelda / Skyrim / One Punch Man / Jack and Daxter / Le Seingeur des Anneaux.

Le but de ce Game art est aussi que chacun puisse trouver au moins une des références, donc bonne chance pour toutes les reconnaître.

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