11 décembre 2019

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SIRI

Mes camarades et moi-même avons réalisé un geek art à partir de SIRI, l’assistant vocal intelligent d’Apple.

Nous voulions donner une apparence humaine à SIRI afin de montrer que c’est un être intelligent. Pour cela, nous avons créé un visage neutre et inexpressif recouvert du motif de l’assistant vocal. L’identité visuelle de SIRI a été réalisée à l’aquarelle car c’est une technique de peinture à base d’eau ce qui rappelle le mouvement des vagues qui apparaît sur un bandeau animé lorsque l’utilisateur pose ses questions.
La suite du travail a été réalisée sur Photoshop ce qui nous à permis de produire un GIF. Ce format donne une vie à l’œuvre et crée une attente chez le spectateur qui doit attendre la fin du cycle pour avoir une vision totale de notre travail.

Le personnage a été incrusté au centre de l’image et des phrases s’affichent de chaque côté. À gauche, des questions en soi assez futiles qu’un utilisateur moyen à l’occasion de poser à SIRI pour s’amuser. Les spectateurs lisent en premier les phrases à gauche (c’est le sens de lecture courant en occident). Ils peuvent ensuite découvrir les questions plus « utiles » à droite qui s’opposent aux phrases placées à gauche. Les questions de droite mobilisent SIRI à sa juste valeur: un outil d’aide en ligne. Notre production est restituée de façon cyclique ce qui laisse entrevoir l’idée d’une boucle perpétuelle où SIRI sera sans cesse utilisé davantage de manière 0ludique plutôt que de manière optimale.

Pour insister sur le peu de pertinence des questions posées habituellement à l’assistant, nous avons choisi de poser des questions plutôt burlesques par exemple: « pourquoi je ne peux pas mettre mes doigts dans une prise électrique?  Cette question ne figure pas à ma connaissance parmi les questions posées fréquemment à l’assistant, mais elle permet de souligner l’absurdité des interrogations des utilisateurs.

Les questions “est-ce que tu m’aimes » et « quel est le sens de la vie » font référence au film « Her » de Spike Jonze où le personnage principal (incarné par l’acteur Joaquin Phoenix) tombe amoureux d’une intelligence artificielle. Celle-ci s’émancipe de sa forme « synthétique » et apprend peu à peu à ressentir les émotions propres aux êtres humains. Si le personnage principal de notre travail n’était pas SIRI, mais Samantha, l’OS1 du film Her, ces questions deviennent pertinentes.

Au-delà de notre geek art, nous pouvons nous interroger sur les questions éthiques que soulèvent les assistants vocaux. En effet, en utilisant ces outils, nous donnons à Google notre voie qui est propre à nous-mêmes. Ce service vaut-il réellement la peine de divulguer à Google quelque chose d’aussi unique que notre voix? De plus, bien souvent, les assistants vocaux ne respectent pas le RGPD car ils n’ont pas vraiment de transparence sur la gestion des données personnelles des utilisateurs ainsi que sur les durées d’enregistrement ce qui peut poser de réels problèmes d’espionnage.

J’ai conçu le geek art « la révolte de SIRI » avec Bréan Boitel, Ambroise Janeau et Marc Mony.

Analyse geek art Siri Ambroise

Cherchant a exprimer un problème de société de manière artistique et avec des références que bon nombres de personnes connaissent dans l’univers « geek ».

Le problème en question étant la sous exploitation de ressources numériques avec comme exemple ici le logiciel Siri un automate de dialogue (ou intelligence virtuel comme le dirait notre bon vieux commandent Shepard {mass effect}).

En effet Siri étant considéré comme un gadget cela réduit la crédibilité d’un tel outil et limite son usage a de rares occasion dans un cadre purement récréatif ,limitant ainsi le potentiel d’apprentissage et d’aide que Siri pourrai apporter .

Ce faisant nous décidâmes de prendre la figure de Siri comme porte parole de notre message (un porte parole qui ne fait que répondre(ironie(…voila))).

Notre équipe était constitué de Zoé GUÉMENÉ ,Marc MONY ,Brean BOITEL et Ambroise JANEAU(moi même) .

Zoé et Marc eurent comme tache la partie pratique avec pour Marc la confection du .gif et Zoé créa le visage de Siri en s’inspirant du visuelle du logiciel.

Brean et moi(en collaboration avec les autres membres du groupe bien sur)avons pensé l’idée ,l’opposition entre les phrases inintéressantes et celles plus ludiques et le parallèle avec les question les plus posée et les question peu entendu par Siri(peu entendu=intéressantes ;beaucoup entendu=ludiques).

Ainsi nous partîmes en quête de question en tout genres posé a notre ami Siri avec des question allant de la demande blague a certaines frôlant la débilitée(sans jugement négatif bien évidement)pour les questions ludiques et pour les question « inintéressantes » on a du les crée nous même avec par exemple des questions sur le lycantropisme ou bien sur des calcules (nous avons demandé la racine carré de pi et Siri n’a pas été capable de trouver la réponse une fois encore cela prouve que cette technologie est sous exploitée bien malheureusement)

Le geekart se matérialisa sous la forme d’une courte animation(travail effectuer par Marc) nous présentant Siri expliquant les problèmes énoncés si-dessus avec le visage de Siri représenté par une silhouette rempli du logo de l’application(travail effectuer par Zoé) .

Wander Fortress 2D

Lien vers l’article du projet

 

Team Fortress 2, une franchise qui me tient à cœur, est le centre de ma création.

Lorsque l’on vous dit ce qui a plu dans un jeu de tir, vous vous attendez à entendre des éloges du système de combat du jeu ou encore le charisme des personnages. Ce n’est cependant pas ce qui m’a séduit et poussé à jouer à un jeu auquel je joue toujours aujourd’hui. En effet, ma première expérience, il y a quelques années, à ce jeu ne contenait pas de gameplay, mais seulement l’écran de chargement :Mon frère, l’ayant récemment installé avait lancé une partie ,se retrouvait dans le susdit écran; C’est à ce moment précis que le jeu m’interpella,j’étais en effet sensible en ce qui pourrait paraître comme un détail: Le fond. Un décors industriel, les quelques cheminées, réservoirs et tapis roulants en style cartoon et ombres chinoises m’ont conquis.

Jusqu’à là je ne connaissait que des fps qui nous mettaient dans une ambiance fantaisistes, réalistes ou futuristes. L’idée de se battre dans un environnement industriel cartoon me paraissait nouveau et me plaisait à un tel point que je j’installa le jeu sur mon ordinateur. Bientôt, je lançai le jeu et me mis à chercher une partie, bien que je ne connaissais  rien de la manière de jouer au jeu. Je me suis vite mise à ignorer les combats et me perdre dans le décor. Un nouveau Mexique dans les années 60 dans des industries cartoon voire même surréalistes entouraient et faisaient même partie du terrain de bataille .Insensible au conflit entre les deux équipes, je me baladait dans les « maps », les savourant, en dépits de mon équipe qui me considérait comme un fardeau due à mon manque d’intérêt pour le combat.

C’est donc à partir d’une histoire d’amour avec l’ambiance du jeu que le lien fort entre moi même et ce dernier est né. J’ai donc retransmit cette émotion, à travers d’une version simplifié du jeu, dans lequel on contrôle un personnage dans un petit décors inspiré de ce dernier, sans combat d’aucune forme, car c’est à cela que ressemblaient mes premières parties. Ce jeu semble dénué d’intérêt, mais si vous portez ce jugement à ce projet c’est que vous auriez probablement juger de même de ma manière de jouer lors de la découverte du jeu.

Depuis, j’ai appris à envisager le jeu plus loin que ses décors; Après avoir appris à apprécier les personnages pour leurs originalité et humour jamais vu auparavant, je me suis mise à comprendre et prendre la main sur l’aspect gameplay du jeu, pour devenir aujourd’hui une joueuse avancée. Je me suis ouverte à la communauté du jeu, une communauté qui est par ailleurs créative et à l’origine de milliers de machinimas créés à partir de ressources mises à disposition par les créateurs du jeu, dont je vous recommande de regarder.

Par ailleurs, d’autres œuvres sont centrées sur l’errance. Diorama III proposait une expérience inédite au joueur : Ce dernier est livré à lui-même dans un monde ouvert désertique presque vide. Tout les joueurs sont confus lorsqu’ils jouent au jeu, il s’attendent à avoir un objectif, à devoir se rendre sur un lieu, mais la seule expérience qu’ils peuvent tirer de l’oeuvre est de se balader sans but dans ce triste décor.

Pasta gang

Avec Valentin, Martin, Jade , Ludovic, Louise, Julie et moi même nous avons décidé de faire un rap sur le thème du geek art.

Dès le début nous avons entamé une recherche d’une instrumentale dynamique et dans le thème du jeux vidéo. Nous sommes tombé très vite sur le son « last battle » qui était libre de droit (https://www.youtube.com/watch?v=voKm2uME-cw). Il nous a de suite plus et nous avons dès lors commencé à travailler nos paroles.. Nous avons décider de partir sur des paroles de rap qui faisaient référence à des jeux vidéo, ou mangas …

Martin, Jade et Ludovic avaient déjà des bases d’écriture et ont pu nous aider pour écrire nos couplets. Après 2 bonnes semaines, les paroles et leur positionnement dans la chanson étaient fini, il fallait enregistrer. J’était personnellement très anxieuse de cette partie car je n’avais jamais chanter. Au final j’ai trouvé ça très entraînant, et j’ai appris de nombreuses choses sur la prise de son ;par exemple avec un micro et un anti-pop ( diminue les bruit de bouche ). J’ai appris un trouver le rythme dans une mélodie.  Au final, ça a été une de mes partie préféré.

Martin et Jade se sont donc ensuite occupé du mixage. Et c’est à ce moment là que j’ai réalisé la complexité de notre projet: nous avons dût ré-enregistrer pour faire des backs. On m’a expliquer que c’était pour donner de la profondeur à une chanson, ensuite j’ai vu la difficulté d’associer et harmoniser tout les couplets qu’on avait fait.

Lorsque le mixage fut à peu près fini nous nous sommes donné rendez-vous à la Défense pour filmer le clip. C’était un lieu pratique pour sa location par rapport à nous mais aussi pour sa diversité de décors.  Ce fût juste un  moment de plaisir, nous mettions la musique dans la rue et chantions et dansions pendant que Valentin nous filmais. Valentin étant qualifié dans les clips vidéos, il réalisât très rapidement un super montage où il ajouta de plus de nouvelles références geek art, par exemple le carapuce à 0:53 min.

   

*voici les backstages du tournage

 

Pour anecdote, notre rap se nome le « Pasta gang », car notre premier refrain parlait de pâtes :

« Jfais ltour du monde jsuis comme mario

Jtourne en rond avec mon bigo

Si vraiment y a rien dans le frigo

Fait ton choix carbo ou bolo »

 

Mais nous avons décidé par la suite de le modifier pour plus se tourner vers le geek art..

Pour conclure, je suis très heureuse d’avoir réalisé ce travail. Même s’il était long et difficile, j’y ai appris beaucoup de choses sur plusieurs domaines (audio et visuel). Je retiendrai donc surtout le moment des enregistrements où j’ai appris à écrire des paroles, utiliser un micro et ses outils, prendre un rythme et surtout voir chacun interprété la musique à sa façon.

 

 

Voici les paroles:

Valentin:

Ça commence fort comme dans red dead redemption

Ton rap c’est comme mon coca il est pas très  frais 

demande à vector comment monter sans pression   

les résultats au bac c’est pas trop ce que jattendais

chuis pas la pour déconner 

mon équipe c’est la team rocket

on m’avait dit frappe pile dans le nez 

on m’avait dit clique pour l’terminer

Je suis pas la pour déconner 

Mon équipe c’est la team rocket

On m’avait dit frappe pile dans lnez

On m’a dit clique pour lterminer

Tas siffler la moitié du Pérignon 

Tas un Pokémon bcp trop mignon

Jsurf en y comme Locklass 

Tu fais plus peur que Fantômas

 

Louna:  

L’inspi est pas trop la 

Mais on va faire avec ce qu’on a

J’suis comme Pac-Man dans les Pokémon 

J’suis comme perdue sans mon téléphone 

Depuis le dééébut du DUTE 

J’me demande c’que j’fous ici 

Je sais pas pouuuurquoi j’me bute 

A l’esthétique, l’infographie

 

Jade:

J’suis comme Shikamaru je pose des pièges et comme t’es con bah t’es tombé dedans

Kakashi Hataké ta garde est levée t’as pas l’temps de capter je te casse les dents

T’es comme le D de débutant

T’es comme usopp t’es décevant

Pourquoi tu me fais perdre mon temps?

Tu sais juste te prendre des vents

 

Yayayayaya je flex sans Rolex

Yayayayayaya ça t’laisse perplexe

Yayayayayaya j’sais pas faire de texte

Yayayayayaya mais vas-y je test

 

Refrain(X2)

Jfais ltour du monde jsuis comme mario

Jtourne en rond avec mon bigo

Si tu vient m’voir et que tu fait l’chaud

Sur Fifa jte met 4-0

 

Ludo:

J’arrive dans l’iut

 pas le temps de respirer

Venus bug j’ai trop la haine

Y’a quoi à rendre cette semaine

La route est vraiment longue,  longue vraiment difficile 

Hamza et Bilal sont en exil (C’est Bilal x3)

Dans la vallée des gorons jmédite 

Ocarina dans la poche, jlévite 

Tout les jours la haine me chasse

On veut mon stuff, on veut ma place (yah)

Bitch jt’enchaîne comme kirua 

Bitch jtenchaine comme blanka (sale)

Diamants dans le sac à dos

Chaque jours on mouille lmaillot

Igo si t’as le cran de me test 

Jsuis posé sur le mont Everest

 

Julie:

On est chaud comme naruto  

Comme Sasuke on va pas blaguer

Là on est dans l’sas avec Kabuto 

Mais c’t’abruti a forgot la mayo

Les ennemis on les tabasse 

Gangkidama dans leur hass

Trop côté comme Hatake

Sah j’me suis jamais faite attaquée

C’est pas moi qui gère le rainté 

Mais c’est moi qui ai la monnaie

Là j’suis dans l’bendo avec Tenten 

Et on fait que  gray des McChicken

Sah crois moi que j’ai la haine (x2)

j’ai marave ma paire de tn (x2)

 

Refrain(X2)