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Ouverture de la Villa Vassilieff

Jeudi, février 4th, 2016

Ouverture de la Villa Vassilieff

Ouverture de la Villa Vassilieff

Ouverture de la Villa Vassilieff

Samedi 13 et dimanche 14 février 2016 de 14h à 20h.

La Villa Vassilieff ouvrira ses portes avec l’exposition Groupe Mobile, qui rassemble une soixantaine d’artistes et de chercheurs internationaux.

La Villa Vassilieff, nouvel établissement culturel de la Ville de Paris, est située au cœur de Montparnasse, sur le site de l’ancien atelier de Marie Vassilieff, qui abrita jusqu’en 2013 le musée du Montparnasse. Elle est gérée par Bétonsalon – Centre d’art et de recherche, qui ouvre son second site d’activités. Conçue comme un lieu de travail et de vie, elle favorise à la fois le mûrissement des idées, les rencontres et le partage des savoirs.

Témoin d’un peu plus d’un siècle d’histoire, la Villa Vassilieff incarne un patrimoine culturel et social exceptionnel. Aujourd’hui, la Villa Vassilieff entend renouer avec l’histoire de ce lieu en invitant des artistes et chercheurs à poser un regard contemporain sur les ressources passées et présentes de Montparnasse. A travers expositions, séminaires, ateliers, projections et rencontres de toutes natures, la Villa ambitionne de bousculer la place de l’art en société en questionnant notamment le rôle et l’usage qu’on fait du patrimoine.

En association avec Pernod Ricard, son premier mécène, qui crée le Pernod Ricard Fellowship, la Villa Vassilieff accueillera et accompagnera chaque année quatre artistes, commissaires ou chercheurs invités en résidence dans l’atelier de la Villa.

EXPOSITION GROUPE MOBILE
Du 13 février au 2 juillet 2016

Ancien charpentier formé à la photographie suite à une blessure lors de la Première Guerre Mondiale, Marc Vaux promène, des années 20 aux années 70, sa chambre photographique dans les ateliers d’artistes de Montparnasse et de Paris, produisant plus de 250 000 plaques de verre. Groupe Mobile, le projet inaugural de la Villa Vassilieff prend pour point de départ l’exploration du fonds Marc Vaux, conservé au Centre Pompidou, afin de ré-examiner, en dialogue avec des artistes contemporains et des chercheurs associés, ces photographies mais aussi leur contexte de production et les récits historiques qui leur sont attachés.

Avec : Agam, Andrea Ancira (Pernod Ricard Fellow), Ellie Armon Azoulay, Kemi Bassene, Yogesh Barve, Kim Beom, Jean Bhownagary, Judy Blum Reddy, Constantin Brancusi, Laurent Brégeat, Alexander Calder, Luis Camnitzer, CAMP, Esther Carp, Clark House Initiative, Camille Chenais, Justin Daraniyagala, Jochen Dehn, Cristiana de Marchi, Max Ernst, Mitra Farahani, Joanna Fiduccia, Alberto Giacometti, Alberto Greco, Zarina Hashmi, Iris Haüssler, MF Hussain, Sonia Khurana, J.D. Kirszenbaum, Naresh Kumar, Emmanuelle Lainé, Laura Lamiel, Life After Life, Nalini Malani, V.V. Malvankar, Ernest Mancoba, Julie Martin & Billy Klüver, Tyeb Mehta, Adrián Melis, Marta Minujín, Tsuyoshi Ozawa, Prabhakar Pachpute, Akbar Padamsee, Amol K Patil, Rupali Patil, Pablo Picasso, Edward Quinn, Nikhil Raunak, Man Ray, Krishna Reddy, Edward Ruscha, Suki Seokyeong Kang, Sumesh Sharma, Amrita Sher-Gil, Shunya, Francis Newton Souza, Pisurwo Jitendra Suralkar, Sharmeen Syed, Jiří Trnka, Marc Vaux, Marie Vassilieff, Susan Vogel, Emma Wolukau-Wanambwa et de nombreux autres.

Commissaires : Mélanie Bouteloup & Virginie Bobin
Avec la complicité du MNAM CCI – Centre Pompidou

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Télécharger le dossier de presse

Le projet de la Villa Vassilieff, porté par Bétonsalon – Centre d’art et de recherche, a été rendu possible grâce au soutien que lui ont apporté des partenaires publics et privés au premier rang desquels la Ville de Paris, la Région Ile de France ou la Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques. Pernod Ricard est son Premier Mécène.

Staring at you staring at me

Jeudi, février 4th, 2016

STARING AT YOU – STARING AT ME

http://www.staringatyoustaringatme.com/

staringatyoustaringatme

staringatyoustaringatme

6 Février 2016 – 12 Mars 2016

Exposition

Vernissage vendredi 5 février 18-21h à Ygrec

Commissariat : Éric Maillet & Jinsang Yoo
Avec Yann Bougaret & Arnaud Mirman, Sung-min Hong, Dong-hyun Kim, Je-hyun Shin, Byung-seo Yoo et Mok-yon Yoo

Cette série d’expositions explore les appropriations, usages critiques et détournements des flux vidéo (webcams, vidéos en streaming sur le web, vidéosurveillance, etc) qui peuvent être opérés dans le champ de l’art. Plusieurs générations d’artistes ainsi qu’une large palette d’approches témoignent de la grande vivacité de ce questionnement au sein de la scène artistique française et coréenne.

Ce projet a été imaginé conjointement par Jinsang Yoo (critique d’art, commissaire d’exposition, enseignant en art) et Éric Maillet (artiste, commissaire d’exposition, enseignant en art à l’ENSAPC). Il fait suite à une collaboration engagée entre les deux depuis plusieurs années, s’étant concrétisée jusqu’à là par des expériences pédagogiques (J. Yoo est enseignant à Kaywon University of Art and Design, É. Maillet enseignant à l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy). Ainsi, suite à des workshops et des échanges, différents événements publics et expositions ont eu lieu (à Paris : Ygrec, Espace Khiasma ; à Séoul : Digital Media City, Gallery 27). Le Nam June Paik Art Center a déjà été associé à ces événements.

Ces expériences pédagogiques et workshops ont été menés sur une réflexion globale, à savoir la place des technologies et médias numériques, et leur appropriation ou détournement dans le champ de l’art. Loin de toute approche technophile ou « geek », il s’agit de penser les usages et la critique des usages par l’art.

Par ailleurs, la question du détournement des circuits et flux vidéos est, depuis deux ans, un l’axe de travail de l’Atelier de Recherche et Création Écran Total, mené par Jeff Guess et Éric Maillet, à l’École Nationale Supérieure d’Art Paris-Cergy (ENSAPC). Pour l’année scolaire en cours, se sont joints à Écran Total un enseignant de l’École Nationale Supérieure école d’ingénieurs ENSEA, Sylvain Reynal, et quelques-uns de ses étudiants. Ainsi, une sélection de travaux d’étudiants produits dans ce cadre seront inclus dans les expositions Staring at you staring at me. Il s’agit de réalisations collectives mêlant étudiants en art et en ingénierie, et elles sont parfaitement pertinentes et abouties. Il est important de noter qu’aucune distinction ni hiérarchie ne sera établie entre les travaux d’artistes « professionnels » et les travaux d’étudiants.

Plus globalement, l’ensemble des travaux retenus, que ce soit d’artistes ou d’étudiants, portent en eux une dimension de recherche. Un questionnement y est présent, motive le travail, sans pour autant entrer en contradiction avec la dimension visuelle et de plaisir. Ces œuvres nous transportent, nous captivent, nous surprennent, et en même temps nous amènent à nous questionner sur notre relation aux images qui saturent notre quotidien et conditionnent nos relations sociales.

Manifestation organisée dans le cadre de l’Année France-Corée 2015-2016

A partir du 4 février à l’ Espace Khiasma
A partir du 5 février à Ygrec
A partir du 6 février aux Grands Voisins

Plus d’infos

ENSAPC YGREC
20, rue Louise Weiss
75013 Paris
M° Chevaleret ou Bibliothèque François Mitterrand

Scott Rettberg

Vendredi, décembre 5th, 2014

Situer le changement : écriture combinatoire, collaboration interdisciplinaire, technologie et réalité politique

Lundi 8 décembre 2014
18h30

Université Paris 8
Amphi X
2 rue de la Liberté
93200 Saint-Denis

Cette conférence hybride vise à situer des collaborations artistiques interdisciplinaires créées par Scott Rettberg, Roderick Coover et Nick Montfort, au sein de contextes divers. Pratiques d’écriture combinatoire, histoire littéraire de l’avant-garde, mouvement de littérature électronique dans une période de transition vers la textualité numérique, ces collaborations interrogent également les conditions de vie dans une période de changement climatique mondial, évoluant dans un dispositif sécuritaire ubiquiste de plus en plus oppressif les sociétés occidentales depuis le 11 septembre 2001.

Programme détaillé : http://www.labex-arts-h2h.fr/fr/13eme-conference-hybride-scott-331.html

Cocktail / Scalability / festival Hors Pistes 2013

Vendredi, février 8th, 2013

Cocktail / Scalability / festival Hors Pistes 2013

Vendredi, février 8th, 2013

Dans le cadre de Scalability / festival Hors Pistes 2013

Centre Pompidou – Petite salle

Dimanche 20 janvier 2013 à 17h

Une Performance de :

Méryll Ampe

Donatien Aubert

Raphaël Faon

Laëtitia Ferrer

Galdric Fleury

Antoine Fontaine

Nicolas Gourault

Martina Margini

Won Park

Andrès Salgado

Quentin Strauss

Sandra Suárez

Maï Ueda.

Une collaboration entre le Département Arts Plastiques de l’Université Paris 8 (Gwenola Wagon)

et le Studio Pratiques Algorithmiques de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts Paris-Cergy (Jeff Guess)

avec l’aide precieuse de Raphaël Kuntz.

UPGRADE! HORS-SÉRIE “SOUS INFLUENCE” #3

Lundi, novembre 19th, 2012

MARDI 20 NOVEMBRE 2012 - 19h30 > 22h00 / La Gaité Lyrique, auditorium - entrée libre

Littérature SF/Art numérique : de l’invasion du fantastique dans la vie réelle

Performance, Conférences, Projection

Organisé par Julie Morel et Jean-Nöel Lafargue

Avec Chistophe Fiat, Jean-Nöel Lafargue, Thoma Léon, Damien Simon, Adelin Schweitzer

Infos et stream

http://www.gaite-lyrique.net/evenement/upgrade-litterature-sf-art-numerique-de-l-invasion-du-fantastique-dans-la-vie-reelle

et

http://incident.net/upgradeparis/2012/10/sf/

À l’occasion de la sortie du numéro hors-série du magazine Sous Influence, Julie Morel, Jean-Noël Lafargue et leurs invités mènent une investigation sur l’irruption du fantastique.

La littérature SF et les arts ont toujours entretenues des relations de voisinages, cette soirée, envisage un des aspects souvent développés par ses deux champs artistiques : l’invasion du fantastique dans la vie réelle. Réunissant performeurs, artistes et théoriciens cette session de Upgrade! Paris remontera le temps ou anticipera sur celui ci pour tisser des liens et explorer de possibles trajectoires entre ces différentes formes d’écritures.

19h30 : « Le cri de Godzilla » de Christophe Fiat
20h15 : « L’Homme le plus doué du monde » de Jean Noël Lafargue
21h : « Living in the Ice Age » de Thomas Léon
21h40 : « De Masticatione mortuorum in tumilis » de Damien Simon
22h30 : « Du Cyberpunk à l’Iphone5 (le réel de la fiction.) » de Adelin Schweitzer

(Merci d’être à l’heure car la performance de Christophe Fiat débutera à 19h30!).

• 19h30 : « Le cri de Godzilla » de Christophe Fiat
(Performance / durée 30 minutes)

Suite à un séjour au Japon, un mois après la catastrophe du 11 mars 2011, Christophe Fiat se rend à Iwaki, à 40 kilomètres de la Centrale nucléaire de Fukushima.  Il en revient avec un livre, Retour d’Iwaki (Gallimard, 2011) et une pièce, Daikaiju Eiga – films de monstres japonais (Théâtre Komaba Agora, 2011, repris au Théâtre de Gennevilliers en 2013).
Une fiction radiophonique est aussi en préparation pour France Culture. Le Cri de Godzilla condense cette  expérience bouleversante dans une lecture électrique à mi-chemin entre la poésie sonore et la rock attitude.
Godzilla, ce monstre de cinéma japonais né des essais atomiques américains dans le pacifique en 1954 surgit ici comme un avertissement. Il incarne l’horreur provoquée par la pollution nucléaire.
(Performance artistique créée au Plateau, Frac Île de France en juillet 2012).

• 20h15 : « L’Homme le plus doué du monde » de Jean Noël Lafargue
(Conférence, 45mn + questions)

Edward Page Mitchell (1852-1927), qui a été le rédacteur du New York Sun, aimait régulièrement offrir à ses lecteurs, de manière anonymes, de courts récits de science-fiction dans la veine d’Edgar Alan Poe. Souvent visionnaire, il s’est attaqué à certains thèmes comme le voyage dans le temps ou l’invisibilité non-magique avec une avance de dix ou quinze ans sur Herbert George Wells. Dans « L’homme le plus doué du monde » (1879), l’auteur imagine tout à la fois l’ordinateur, la pensée mécanique et le cyborg.

• 21h : « Living in the Ice Age » de Thomas Léon
(Projection, vidéo de 20 minutes)

La vidéo est une invitation à traverser une idée. Un bâtiment utilitaire à l’abandon, souvenir fantomatique des flux de marchandises qui l’ont traversé, cohabite avec une architecture verticale de verre et d’acier évoquant la gestion de flux financiers présents, tout aussi invisibles.

(Coproduction Conseil général de la Seine-Saint-Denis, Ville de Pantin, Le LABO).

• 21h40 : « De Masticatione mortuorum in tumilis » de Damien Simon
(Conférence, 45mn + questions)

Les différentes inventions ayant trait aux télécommunications, qui émaillèrent la seconde moitié du 19ème siècle,  nourrirent largement l’imagination des contemporains  de Thomas Alva Edison et d’Alexander Graham Bell.  En effet, télégraphes, téléphones, radios et autres appareils nourris d’électricité, donnèrent aux vivants un privilège jusqu’alors réservé aux défunts : faire entendre sa voix en l’absence de tout corps physique.  Les littérateurs, par leurs écrits à la charnière de la fiction et du récit scientifique, se sont faits les témoins de ces progrès et des croyances  qu’ils ont générées ou revitalisées.

• 22h30 : « Du Cyberpunk à l’Iphone5 (le réel de la fiction.) » de Adelin Schweitzer
(Conférence, 45mn + questions)

Adelin Schweitzer présentera, à travers une sélection de ces travaux, notamment le dispositif A-reality, les liens qui le rattache à la culture SF. Il abordera ces liens qui ont influencés sa démarche et continuent d’alimenter son univers artistique.

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/// Upgrade! Paris est organisé par Marika Dermineur et Julie Morel, incident.net, RYBN.

http://incident.net/theupgrade

/// Upgrade! Paris « Sous influence »est la série d’ateliers et conférences organisée par Upgrade! Paris dans le cadre de la résidence Laboratoire Ouvert à la Gaîté Lyrique (avril 2012 – mars 2013).

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Mal au Pixel 7. Dominic Gagnon. FILMMAKING

Lundi, novembre 5th, 2012

Mal au Pixel 7

Pour sa 7e édition, Mal au Pixel, festival dédié aux cultures « open source », déploie une exposition, des ateliers pratiques et une série de rencontres à la Gaîté Lyrique. Le festival invite artistes, chercheurs, hackers et activistes internationaux pour un ensemble d’installations et de prototypes qui détournent de manière ludique les technologies de surveillance et de contrôle.

NETWORK HACK
Mal au Pixel s’attache cette année à mettre en tension ces problématiques et à dévoiler les détournements opérés au croisement des arts et du hacking, à travers une exposition thématique réunissant les travaux de : !Mediengruppe Bitnik, Julian Oliver & Danja Vasiliev, Telekommunisten, Timo Toots et Benjamin Gaulon.

PROJECTIONS
Des projections thématiques accompagnent l’exposition, avec les films de Manu Luksch, Gorgomancy.net, Dominic Gagnon et Gwenola Wagon.

CONFERENCES
Lors des weekends d’ouverture et de clôture du festival, 2 séminaires rassemblant chercheurs, artistes, activistes et théoriciens, afin de mieux cerner les enjeux des technologies de la surveillance.

ATELIERS HEBDOMADAIRES
En marge de l’exposition, et en collaboration avec “Laboratoire Ouvert”, Mal au Pixel organise une série d’ateliers pratiques, de rencontres et de démos, tous les mardi du 30 octobre au 18 décembre 2012.

ATELIER FILMMAKING

mardi 13 novembre
Dominic Gagnon.

Rip-in-Pieces

Filmaking in the Age of Internet:

Tous les scénarios d’acquisition de matériel sur Internet en vue d’une production film-vidéo seront explorés.

POURQUOI LE W.W.W.?

Aujourd’hui, c’est Internet qui génère et inspire, plus que tout autre forme médiatique, les nouvelles formes et la base de progrès en audio-visuel. Des forums tels que YouTube, Dailymotion et Vimeo permettent l’exposition du public à toutes les entreprises artisanales de l’audiovisuel. Ce nouveau royaume médiatique a eu un impact incroyable sur le monde de l’image et influence actuellement la vision du monde de nombreuses personnes.

« C’est une histoire de communauté et de collaboration sur une échelle jamais vue auparavant. Le réseau de million de personnes du site YouTube qui reçoit 50 000 heures de vidéo par jour en est un bon exemple. Cela va non seulement changer le monde, mais aussi changer la façon dont le monde change. » Lev Grossman

De plus, la «numérisation» et la démocratisation achevée de la production vidéo a permis d’élargir la base d’intérêt et stimuler la créativité de gens qui tentent de documenter et représenter ces nouvelles réalités technologiques et sociales.

Ce qui attire également vers le web sont ces nouvelles méthodes de visualisation, ces nouvelles sources de matériaux, ces changements important de perspective documentaire et surtout ces nouveaux lieux de l’existence à explorer et à documenter.

D.G.
Pour Dominic Gagnon, le cinéma est une discipline du chaos ou un moyen de mesurer l’incommensurable. Depuis qu’il a partiellement perdu l’usage de son œil droit, il tire la matière de ses films à même le World Wide Web.
Depuis 1996, DG fait des présentations publiques d’images en mouvement, invente des machines, crée des œuvres sonores, construit des installations et performe dans différents contextes. A travers toutes ses pratiques, il revalorise les principes du détournement, du collage et de la manoeuvre, parfois anonyme, en art.

Catherine Adda. Cycle de conférences Post-production #02

Mardi, octobre 23rd, 2012

Catherine Adda
Cycle de conférences Post-production #2
Lundi 29 octobre. 18h à 20h
Université Paris 8
Salle A1172

Le familistère de guise. Une cité radieuse au XIXe siècle.
Un film de Catherine Adda
1999 – France – 27 minutes – Beta numérique.
Jean-Baptiste André Godin, concepteur du familistère de Guise, est inspiré par les théories de Fourier. Pour lui, l’habitat communautaire est la pierre angulaire de la société nouvelle.

Calatrava, Dieu ne joue pas aux dés
2000 – 52 minutes

Satolas – TGV, un monument à la campagne
1998 – 26 minutes

L’École des beaux-arts de Paris, une histoire en abyme
2000 – 26 minutes

The Tragedy of the Commons, Robin Meier and Ali Momeni

Vendredi, novembre 25th, 2011

robin_meier_ali_momeni_tragedy_commons_00

robin_meier_ali_momeni_tragedy_commons_01

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Large Group Interaction – Agency and Event

Mercredi, novembre 23rd, 2011

Large Group Interaction

Une journée d’études de l’EnsadLab

École des Arts Décos | 23 novembre | 14h - 20h30

École nationale supérieure des Arts décoratifs | 31, rue d’Ulm | 75005 Paris

Coordination : Samuel Bianchini – samuel.bianchini@ensad.fr et Emanuele Quinz – emanuele.quinz@ensad.fr

En partenariat avec avec l’Observatoire des nouveaux médias (Université Paris 8 – EnsAD) et le projet de recherche “Praticables. Dispositifs artistiques : les mises en œuvre du spectateur” (DALMES - ANR-08-CREA-063) soutenu par l’Agence nationale de la recherche, pour la période 2009-2011. Un projet de recherche des Universités de Valenciennes et Lille (Laboratoires Calhiste, Ceac, Geriico) et de la Maison européenne des sciences de l’homme et de la société (MESHS) de Lille.

Comment faire interagir un grand groupe de personnes (jusqu’à plusieurs centaines) dans un même lieu et sur un dispositif commun ?

Les dispositifs interactifs, qu’ils soient portables, en réseaux ou en installation font appel, le plus souvent, à une relation “solo” dans l’usage de leurs interfaces. De plus en plus d’installations tentent pourtant de proposer des modalités d’interaction pour plusieurs spectateurs en même temps. Et cette dimension est encore plus difficilement contournable dès lors que l’on s’adresse à un public nombreux et non intentionné, comme c’est le cas dans l’espace urbain, dans l’espace public. Qu’en est-il alors pour des dispositifs qui appellent une interaction collective dans un même lieu, impliquant parfois un grand nombre de participants (“Large Group Interaction”) ? Comment chacun peut-il à la fois s’inscrire dans un tel mouvement et s’y retrouver ? Comment l’interaction doit-elle être pensée pour se déployer autant en rapport au dispositif qu’entre les participants mêmes ? L’approche d’une telle problématique ne peut être que multiple : artistique, médiatique, technique et, plus largement, socio-politique.

PROGRAMME

Modération : Emanuele Quinz

Théoricien, critique d’art et commissaire d’exposition. Maître de conférences à  l’Université Paris 8 et auprès de l’EnsadLab.

14h - 18h – Salle 308 – Intervention de 20mn puis 10mn de discussion

Thierry Fournier : Ce qui nous regarde

Artiste et enseignant-chercheur à l’EnsadLab

Marie-Julie Bourgeois : Quelques cas de Large Group Interaction

Doctorante en Arts et Sciences de l’art à l’Université Paris 8

Christophe Domino : Grande image, grand public

Théoricien et critique d’art. Responsable du programme de recherche Grande image à l’École des Beaux-Arts du Mans

Gwenola Wagon : Transes, cyborgs et autres globes

Artiste et Maître de conférences à  l’Université Paris 8

Samuel Bianchini : Discontrol Party

Artiste et Maître de conférences à  l’Université de Valenciennes. Responsable du programme DRii d’EnsadLab

Xavier Boissarie : Les technologies embarquées pour le Large Group Interaction

Concepteur et réalisateur multimédia. Responsable de la société Orbe

Anne Zeitz : Stratégies de l’observation

Doctorante en Arts et Sciences de l’art à l’Université Paris 8 et à l’EnsadLab

18h30 - 20h30 – Amphithéâtre Rodin

Jordan Crandall [invité d'honneur] : Agency and Event

Artiste et Théoricien des médias