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Un cadran solaire pour la Défense

Article publié le : Dimanche 3 juin 2012. Rédigé par : sandy

Créer une œuvre plastique pour un quartier tels que celui de la Défense est un réel défi. Un lieu qui peut être considéré comme faisant parti des plus grands quartiers d’affaires, avec les tours les plus hautes, l’un des plus grand centre commercial et le plus grand musée à ciel ouvert qui existe demande un projet à la hauteur du lieu. On l’aura compris, la Défense se veut grandiose dans ce qu’elle propose en quantité et en qualité. Des artistes du monde entier exposent ainsi tous les jours leurs œuvres. A ce jour l’on dénombre 54 œuvres d’art sans prendre en compte les prouesses architecturales multiples qui entoure le lieu. Ce quartier a été et est toujours une source de création inépuisable.

Le quartier de la Défense est un lieu très prisé des touristes et des professionnels lui donnant l’aspect d’un grand carrefour où des milliers de gens se croisent tous les jours. Lieu de passage rapide et point de rendez-vous fréquent, il est pourtant démuni de signe indiquant le temps. Il existe un cadran solaire sur le toit de la grande arche nommée La carte du ciel par l’artiste Jean-Pierre Raynaud mais il ne montre que les signes astrologiques suivant le cours de l’année. J’ai ainsi eu la volonté de marquer le temps dans cette espace.

Concevoir la forme de cette unité de temps fut l’objet de réflexion sur le terrain de la Défense. Mes visites conclurent que le quartier est bien trop chargé pour ajouter un nouvel élément qui ne viendrait que se fondre dans cette multitude existante. Toutes les œuvres d’art répertoriées sont disposées sans aucun rapport avec ce qui les entourent. Tels des pièces parachutées ici et là pour agrémenter le parcours des visiteurs et habitants, rare sont celles qui entre en relation direct avec l’espace qui leurs ont été destinées. C’est pourquoi la sculpture de Morellet La Défonse a particulièrement attiré mon attention. Non seulement son appellation est un jeu de mots avec le nom du quartier, mais sa disposition est en corrélation avec le bâtiment des Fonds National d’Art Contemporain. Surprenant que de pouvoir observer sur son chemin une œuvre interpellant l’architecture, élément pourtant omniprésent du lieu. Cette relation m’a permis d’accorder de l’attention à chacun des deux objets. Il m’a semblé important alors d’utiliser ce qui est présent pour mettre en valeur ma création en hommage à celle déjà présente. Mon installation consistera en un cadran solaire se servant des éléments architecturaux de l’oeuvre de Morellet. Les ombres correspondant à chacune des heures divisant notre temps sera marquées au sols par une peinture effectuée par mes soins. Cependant, La Défonse n’est exposé au soleil que jusqu’à 13h environ et ne permet pas d’établir les traçages du reste de la journée. Déplacé l’oeuvre au centre du parvis me permettrait d’avoir de la lumière tout au long de la journée mais cela reviendrait à ajouter une oeuvre à un endroit qui en était dépourvu jusque là.

A y réfléchir de plus près, ce parvis n’accueille effectivement que des événements éphémères et se retrouve vide la plupart du temps. Il est un espace de déambulation où les passants vont d’un point à un autre. J’expérimenta alors la création d’un cadran solaire au centre de cette place où l’Homme serait l’élément de mesure. Le marcheur intrigué par les traces au sol, s’il est curieux, se placerait à l’endroit inscrit et pourrait observer grâce à son ombre projetée l’heure qu’il serait. La volonté d’interrompre le trajet des passants semblant utopique, l’idée de parcours me resta tout de même à l’esprit.

J’entrepris alors un parcours à l’échelle du quartier pour deux types de population, les visiteurs qui auraient l’occasion de le faire entièrement, en considérant qu’ils puissent y rester une journée entière, et les travailleurs qui ont quasiment tous au moins une œuvre sur leurs trajets entre le métro et leurs lieux de travail. Sur ce chemin, j’utiliserais donc quelques œuvres (12 en tout) dont chacune déterminera une heure précise. Les ombres correspondantes seront délimitées grâce à une peinture au sol de couleur rouge, plus précisément des bandes d’aluminium peintes permettant de ne pas altérer les surfaces touchées. Les nombres associés aux heures de chacune des œuvres joueront avec la silhouette de leurs ombres.

8h Les hommes de la cité 1995 France et Hugues Siptrott (n°48 sur la carte)

       

9h Doubles lignes indéterminées 1988 Bernar Venet (n°52 sur la carte)

        

10h Le moretti 1995 Raymond Moretti (n° 38 sur la carte)

         

11h Les totems poétiques 2008 Lim Dong Lag (n° 20 sur la carte)

         

12h La défonse 1990 Morelet (n°37 sur la carte)

         

13h Les personnages Miro (n° 34 sur la carte)

       

14h La pyramide noir 1985 Emile Aillaud (n° 3 sur la carte)

        

15h Les arbres lumineux 1990 Takis (n° 49b sur la carte)

        

16h Les Utsurohi 1989 Aiko Miyawaki (n° 36 sur la carte)

        

17h Le grand Toscano 1983 Igor Mitoraj (n° 35a sur la carte)

        

18h L’araignée Rouge 1976 Alexander Calder (n° 9 sur la carte)

        

19h Le bassin de Takis 1988 Takis (n° 49a sur la carte)

        

 

Les œuvres choisit répondent pour la plupart à un trajet assez simple formant une boucle depuis la sortie de métro « Esplanade de la Défense » jusqu’au Bassin de Takis. L’on remarque que certaines œuvres qui sont moins exposées ont été utilisées pour des heures qui ont peu de passage. Les œuvres plus remarquables servant à attirer l’attention pour peut être procurer l’envie de découvrir le reste de cette horloge géante et par la même occasion les œuvres passant la plupart du « temps » inaperçues.

Quand la mémoire est mise à l’écart ! ou A la recherche du mur de Berlin à La Défense

Article publié le : Samedi 2 juin 2012. Rédigé par : Cintia Tosta

1. Introduction

Ce projet propose un nouvel emplacement pour les fragments du mur de
Berlin placés sur le Passage de la Coupole1 à La Défense. Selon le guide
Parcours guide pratique et touristique du Defacto2, ces fragments du mur de
Berlin font parti des oeuvres d’art exposées du Musée d’art à ciel ouvert.
Leur site internet indique que cette oeuvre fut acquise par la ville de Courbevoie
aux enchères et installé en 1995 au Passage de la Coupole du quartier
Esplanade nord. Il n’y a pas d’indication du nom de l’oeuvre ni de l’artiste.

                                     Le mur de Berlin à La Défense

La proposition de réaménagement des fragments du mur de Berlin à la place
de La Défense3 est fruit d’une analyse faite de la situation actuelle de l’oeuvre
à partir du circuit parcous-visite proposé par le guide Defacto.

La difficulté de trouver les fragments du mur de Berlin lors de la deuxième
visite du 22 mars était le premier élément révélateur de la contradiction
d’informations exposées dans le guide Parcours guide pratique et touristique
du Defacto. Ensuite, le deuxième élément qui a confirmé l’importance de ce
projet était celui de retrouver l’oeuvre au Passage de la Coupole encerclée, au
milieu des travaux d’un grand chantier effectué sur place et par conséquent,
inaccessible au public.

Le mur encerclé        

Nous avons constaté avec étonnement, lors de la visite du 19 avril
que l’oeuvre à nouveau accessible au public, certes, cependant l’oeuvre avait
toujours son côté contenant les graffitis exposé face à un mur, vestige des
travaux du chantier. Le public et les passants du Passage de la Coupole
peuvent seulement contempler le côté du mur de Berlin sans les graffitis.
Pour se visualiser les inscriptions plastiques de ces vestiges du mur de Berlin,
il faut d’abord deviner que ses trois blocs de béton, c’est véritablement trois
blocs extraits du historique mur de Berlin et ensuite pour la prendre compte
de sa création artistique inscrite, il faut se dévier du chemin actuel proposé
pour le passage des piétons et passer par un étroit passage.

       

Aucune brochure informative concernant l’oeuvre n’est à la disposition du
public. Par conséquent, ce mur est placé dans le patrimoine du site de La
Défense, regagne une accessibilité limitée restant encore dans une position
non valorisante vis-à-vis d’autres oeuvres exposées.

Selon le même responsable de la communication du Passage de la Coupole,
le centre commercial face aux fragments du mur de Berlin fut fermé par
décision préfectorale pour des raisons de sécurité. Il sera remis aux normes
de sécurité et rénové. Le nouveau projet pour ce centre porté par un
investisseur privé sera présenté au public au courant de 2012 en
collaboration avec l’Epadesa. Le fragments du mur de Berlin seront donc
déplacé pour permettre les travaux, mais sans date prévue.
Ces deux éléments, la difficulté de localisation et son accessibilité limitée vis-à-
vis du public, sont alors les deux piliers de ce projet nommé Quand la
mémoire est mise à l’écart ! ou A la recherche du mur de Berlin à La Défense.

2. La proposition :
restaurer, réaménager et communiquer

Le projet Quand la mémoire est mise à l’écart ! ou A la recherche du mur de
Berlin à La Défense a pour objectif la revalorisation des fragments du mur de
Berlin localisés à La Défense.

Pour cette revalorisation, nous proposons trois actions concrètes : restaurer,
réaménager et communiquer.

Par l’action restaurer, le projet envisage une restauration des fragments du
mur de Berlin, c’est-à-dire, nettoyage, l’enlèvement du socle et de supports
d’attache métalliques et du verre de protection ajoutées, des barres
métalliques localisées dans ses parties supérieures et inférieures ajoutées,
reconstitution de la partie supérieur et inférieur des fragments du mur à
l’identique de son état d’arrivé à La Défense. Cette phase de restauration
sera entièrement prise en charge par le service pour l’entretien des oeuvres
du Musée d’art à ciel ouvert compétent du Defacto.

    

Suite à la restauration des fragments du mur, l’action réaménager vise le
déplacement de l’oeuvre à la place de La Défense. Cette place carrée fut dans le passé
le rond-point où se localisait la colline de Chantecoq devenue à partir des années 50
le quartier d’affaires hors Paris, celui de La Défense.
Cette place historique a conservé la sculpture nommée La Défense de 1883 du
sculpteur Louis-Ernest Barrias.

Par la voie de cette symbolique historique, le réaménagement de fragments
du mur de Berlin retrouvera son importance historique. Autres points
importants de cette place sont sa localisation centrale, sa visibilité et
accessibilité faciles au public. Dans sa disposition actuelle, cette place gagne
encore un autre atout, celui d’être à la proximité d’un des bâtiments issus de
l’architecture contemporaine, la tour EDF (2001) avec ses 26 étages et 165
mètres d’hauteur. Cette place est un lieu de passage donc incontournable.
Cette action de réaménagement englobe aussi un éclairage adapté à son
exposition. Cette phase de restauration sera entièrement prise en charge par
la direction des espaces publics et des infrastructures du Defacto.

                                  

La troisième action envisagée par ce projet est celle de communiquer
autour du mur de Berlin. Suite à deux changements majeurs dans le parcours de
cette oeuvre constituante le patrimoine du Musée d’art à ciel ouvert, un
nouveau plan de communication doit être mis en place :
la création des textes pour les articles imprimés ou sur internet, l’actualisation
des plaquettes informatives distribuées par le Defacto, une nouvelle
inauguration pour l’oeuvre, une plaque d’identification de l’oeuvre et une
plaque explicative pour être laissée sur le Passage de la Coupole, son ancien
emplacement. Cette phase de restauration sera entièrement prise en charge
par la direction de la communication et par la direction de l’animation du
territoire du Defacto.

                             

3. Les étapes de développement du projet

Les étapes proposées pour  le projet sont divisées en 3
moments clés, ainsi nommés :

Sur place , contacts et recherches et propositions visuelles et écrites.

- Sur place
Ce moment clé du projet a été celui des visites sur le site de La Défense. Ce
moment a été marqué par l’observation des passants, la prise de notes et des
photographies des signalétiques concernant le site, contacts directes avec les
passants, visites à l’Espace info Défense, localisation et photographies de
fragments du mur, prospection d’un nouveau lieu d’aménagement.

- Contacts et recherches
Ce moment clé a été marqué dans un premier temps par les divers contacts
établis, par courriel et par téléphone, avec les différents services du Defacto
et de la Ville de Courbevoie et de l’EPADESA concernant le service
responsable du chantier du Passage de la Coupole.
La deuxième étape, c’était celle de trouver des pistes du côté de l’artiste.
Ainsi, plusieurs contacts, par courriel et par téléphone, ont été établis avec
l’artiste Thierry Noir qui a travaillé avec l’auteur des peintures à Berlin.
La troisième étape c’était celle de regrouper, sélectionner et interpréter toutes
les informations des interlocuteurs contactés.
Pour faciliter ces contacts, un questionnaire portant 10 questions autour des
fragments du mur de Berlin. Les recherches d’autres informations, comme des
articles apparus au journal Le Parisien ont aidé à interpréter les informations
trouvées.

- Propositions visuelles et écrites
A partir des photographies prises lors de l’étape Sur place, ce projet propose
alors un plan visuel pour concernant le nouvel emplacement des fragments
du mur de Berlin à La Défense et des textes supports pour le plan de
communication autour de l’oeuvre.

4. Bref historique du mur et l’artiste Kiddy Citny

- Bref historique du mur de Berlin
Le mur de Berlin, qui a séparé l’Allemagne en deux entre le 13 août 1961 et le
9 novembre 1989, a symbolisé près de 30 ans la guerre froide et le contraste
entre l’Est et l’Ouest. Suite à la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie de
1945, Berlin est alors divisée en quatre zones. De cette première division
naissent en 1949 la RFA (République fédérale d’Allemagne) à partir de la
Trizone (ancienne zone d’occupation française, britannique et des EUA) et
par l’accord interallié la RDA (République démocratique allemande) ou
ancienne zone d’occupation russe de l’armée rouge.

Après sa chute en 1989, le mur de Berlin fut démonté et décomposé en
45000 segments. Chaque segments du mur de béton préfabriqué avait
comme mesures : 3,6 m d’hauteur, 1,20 m de larguer, 22 cm d’épaisseur et
2,75 tonnes de poids.
Les trois segments du mur de Berlin ont été acquis en 1990 par la Mairie de
Courbevoie suite une visite parlementaire en décembre 1989 à Berlin.
L’adjoint au maire de Courbevoie, Jean-Yves Haby, a demandé à Erhard
Krack, Maire de Berlin-Est à l’époque, la possibilité de ramener en France des
fragments du mur comme symbole de l’ouverture des frontières entre l’Est et
Ouest.

Le Maire de Berlin-Est a proposé la vente des segments dans montant de 300
000 deutsche marks, soit 150 000 euros. L’argent récupéré par cette vente a
été investi dans la rénovation des hôpitaux et dans des projets de caractères
sociaux dans l’Allemagne de l’Est. C’est la compagnie de transport
Carlberson qui a assuré le transport des trois segments du mur de Berlin à La
Défense.

 

En 1995, cette oeuvre fut retrouvée dans un parking de La Défense
recouverte par une bâche et entourée par bouteilles de bières vides. Ce
triptyque historique, devenu ouvre d’art, a dérangé en réalité, l’équipe des
ingénieurs et architectes du Defacto, qui a trouvé l’aménagement des 12
fragments du mur de plus d’huit tonnes inapproprié pour l’Esplanade de La
Défense. Selon un ancien collaborateur de la Mairie de Courbevoie, l’oublie
de ce mur de Berlin fut en réalité le résultat des querelles politiques entre les
autorités de la Ville et la société de gestion qui gère La Défense. Par
conséquent, un nouvel emplacement près d’un centre commercial à La
Défense fut proposé par Jacques Kossowski, député-Maire de Courbevoie élu
en 1997.

Aujourd’hui, ces fragments du mur de Berlin continuent à être source d’oubli.
Placée face à l’ancienne galerie marchande nommée Galerie Coupole-
Regnault fermée en 2010 sous plusieurs protestes de ses commerçants,
l’oeuvre fut entourée et mise à l’oubli du public pour temps indéterminé lors
des travaux pour la nouvelle sortie de la gare RATP. Par mystère, le
responsable du chantier de La Coupole de l’Epadesa a indiqué à une
nouvelle accessibilité du triptyque au public à compter de la fin mars 2012. Il
est été retrouvé sale, avec de débris placés dans son socle en verre.

Comme la galerie marchande est fermée et murée en attendant sa
démolition, les passants et le public de cette oeuvre doivent se contenter de
l’apprécier d’abord par son côté de béton anciennement placé dans l’ancien
Berlin-Est. Son côté Berlin-Ouest avec la peinture de Kiddy Citny est placé
face au mur de l’ancienne galerie. Suite à ce triste cheminement, les
fragments du mur de Berlin ont perdu de leur importance symbolique et
artistique des années 90 suite à la chute du mur de Berlin.
Aujourd’hui, la meilleure question à se poser est celle concernant le destin
réservé à ces morceaux vivants de l’Histoire de l’Humanité. Est-ce que avec
la démolition totale prévue du centre commercial ils auront un nouveau destin ?
Peut-être et enfin, un placement plus digne pour ces fragments de la
mémoire, oeuvre d’art du patrimoine public symbole de la réunification d’un
pays. Ces questions pourront éventuellement trouver des réponses lors de la
fin des travaux à priori d’aménagement de la Galerie Coupole-Regnault, mais
que selon les repreneurs de la gelerie auprès de l’Epad, il seront en réalité de
transformer le lieu dans une galerie avec des boutiques de luxe et de loisirs
pour 2014.

- L’artiste Kiddy Citny
Kiddy Citny est né à Stuttgart en 1957. Il a trouvé inspiration dans le Berlin
des années punks et a contribué à créer les « Dilettantes de génie », une
scène artistique que fit le lien entre les musiciens et les plasticiens. A partir de
1977 avec son groupe « Sprung Aus Den Wolken » (Sauter par-dessus les
nuages), l’artiste explore l’expérimental du jazz. Son groupe réalise 6 albums
et se fait remarquer par la bande originelle du film Les ailes du désir de Win
Wenders. En parallèle à son activité musicale, l’artiste a aussi développé son
univers plastique et en compagnie de Thierry Noir, ils ont choisi le mur de
Berlin comme support pictural. Depuis la chute du mur en 1989, l’artiste
navigue entre Munich, Los Angeles et Berlin. Il continue ses créations
musicales, notamment avec la sortie de son dernier album Artpark en 2004.

5. Plan visuel du nouvel emplacement : place de la Défense et
communication

Par ce nouvel emplacement à la place de La Défense, nous voulons
souligner : l’accessibilité du public qui pourra choisir son propre itinéraire (à
partir du point Info Défense, à partir des escaliers en face de la tour EDF, par
les voies latérales où se trouve garent les cars de tourisme), la visibilité pour
être dans une place dégagée et centrale vis-à-vis de la construction du
quartier d’affaires et enfin, la facilité de s’informer sur ces fragments du Mur
de Berlin à partir d’une plaque informative.

 

   

      

6. Texte informatif autour du Mur de Berlin à La Défense
Nous avons crée un texte que s’approche par sa forme littéraire à une pièce
de théâtre à partir des informations recueillies auprès des divers
interlocuteurs du projets.Ce texte, presque pièce de théâtre est ainsi un outil valide pour les créations
d’autres textes autour du mur de Berlin à La Défense.
Texte presque pièce de théâtre
La pointe de l’iceberg ou Dialogues autour de l’histoire les fragments du mur
de Berlin à La Défense : une histoire avec différents interlocuteurs

7. Remerciements
Nous voulons remercier aux artistes Kiddy Citny et surtout à Thierry Noir pour ses
précieuses informations concernant les fragments du mur de Berlin et à tous
les interlocuteurs qui ont aidé à la réalisation de ce projet : les passants du
Passage de la Coupole. Ainsi qu’aux interlocuteurs de la mairie de Courbevoie, du
Defacto et de l’Epadesa.