Au plus près de l’objet

Effacer les grands mouvements de caméra pour se convertir à l’idée du geste simple, élaboré par la main de l’homme. Les vidéos de Nicolas Tubéry forment cartier love bracelet
un échantillon de saynètes produites au gré de ses voyages, de ses rencontres, et collectées comme une banque de données où le geste supplante la mécanique de la machine. Les sculptures, comme les vidéos de l’artiste, prennent cartier bracelet
en charge un récit sans début, ni fin. Badinant avec les codes narratifs de la fiction où du documentaire, c’est davantage cartier bracelet
pour s’en émanciper que Tubéry s’en approche. Il travaille à la mise cartier love bangle en exécution d’une histoire qui doit avoir lieu mais ne prend jamais. Tubéry s’intéresse davantage à l’objet qu’à l’idée hypothétiquement capable de le sublimer.

 

Parallèlement, ses sculptures construisent un espace architecturé où les cadres métalliques, reprennent la silhouette de l’échafaudage pouvant s’imbriquer à de nouvelles structures. Dans un roulement infini. C’est dans un jeu de temporalité en perpétuel bouleversement que Nicolas Tubéry isole replica cartier love bracelets et cadre les objets.

 

Les sujets de ces vidéos cherchent à se défaire du spectaculaire, de la mise en scène et du théâtre. Lorsqu’on regarde la vidéo Tsukiji, où l’on assiste à la « criée », le spectacle est apparent. Mais il est également l’instant d’une prise, où le passage brouille le sujet principal pour rendre compte d’une tranche de vie.

 

Pour autant, il n’est pas question de documentaire, mais plutôt de documentation. Les images captées caméra au poing sont autant de matériaux capables d’archiver, de collecter le réel. Prenant le large vers des horizons où l’inconnu, l’incertitude de la matière à voir, renforce l’ambiguïté entre fiction et réel. Allant au de-là d’une réflexion en huit clos, où l’art parle de l’art pour l’art, les dispositifs cartier replica de Nicolas Tubéry s’intéressent aux formes extra-artistiques, aux mécanismes des machines. Invention d’un langage vidéographique qui surgit sur l’écran de plexiglass noir à double vision. Le travail de Nicolas Tubéry s’organise par le défrichement de sujet inconnu. Le mouvement mécanique existe dans la volupté. Ainsi, il fabrique cartier bracelet unboxing video
de toutes pièces les outils capables de créer les déplacements de la caméra sur les motifs qu’il suit. Le geste doit opérer dans la fragilité du moment dans une temporalité latente. Les bras cartier love necklace des caméras sont fabriqués avec les matériaux qu’ils trouvent sur les lieux de tournages. Il joue avec la fonction cartier nail bracelet
de l’objet, le recycle pour fabriquer une nouvelle pièce. Il apporte dans l’enceinte de ses structures métalliques la pierre de sel, dont les propriétés poussent à la dégénérescence qu’il photographie et capte pour conserver l’instant

 

Les sujets qu’ils filment opèrent comme la restitution de la mémoire, qu’ils tentent d’inscrire dans de nouvelles formes. Il tente de dresser un tableau sur l’industrie agricole contemporaine. L’artiste s’inspire d’images qu’il a connu, qui fonctionne cartier love necklace comme madeleine de Proust lorsque surgit de son champ de vision, la sobriété des mécanismes industriels. Les installations de Nicolas Tubéry interroge l’au-delà, la méta-image. Les à-côtés de ce que l’on regarde, de ce qui d’ordinaire semble insondable.

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