Articles by Noe L

You are currently browsing Noe L’s articles.

Lucario : la révolte – Game Art

28 novembre 2019 in game art by Noe L | Comments closed

Scénario :

À travers une animation de sprite (images de personnages prédéfini servant à faire des animations avec). Nous avons cherché à représenter ce qui se passerait si un pokémon avait une prise de conscience et se rebellait contre son dresseur lorsque celui-ci le force à combattre et à blesser d’autres pokémon (ses semblables) contre son gré.

Dans le contexte de l’animation, ce serait un dresseur avec un Lucario qui défie une dresseuse avec un Jungko. Lucario et Jungko se battent. Lucario, après avoir vaincu son adversaire aurait une prise de conscience de tout le mal qu’il a infligé à son adversaire, Jungko. Ce qui suit d’une rébellion de Lucario contre son dresseur, qui tente de se défendre comme il peut.

Dans la vraie vie, on pourrait par exemple comparer cette scène au dressage des animaux dans les cirques. Que se passerait-il si ceux-ci s’attaquaient à leurs dresseurs après s’être rendu compte qu’ils se font maltraiter, droguer, enlever de leurs environnements naturels ?

 

 

Par :

Noé Lebrec

Vincent Marra

Sylvain Goncalves

 

Sources :

Musique de fond :

  •  https://www.youtube.com/watch?v=9gBTKiVqprE&list

Sons du combat :

  • https://www.youtube.com/watch?v=IMIC_Ttf3NU
  • https://www.youtube.com/watch?v=WVNDyQlJJXc
  • https://www.youtube.com/playlist?list=PLMaRkmQePuC8OP1bfJPJyp9g3oXe5eAQg
  • https://www.youtube.com/watch?v=9BSAzlH4KPc
  • https://www.youtube.com/watch?v=POBMrbqZQCE
  • https://www.youtube.com/watch?v=aVaBqcjPuvA
  • https://www.youtube.com/watch?v=3Gda_f9BsXI

Modèles utilisés :

Tags: ,

American History X

13 octobre 2019 in Non classé by Noe L | Comments closed

American History X est un drame sorti en 1998, réalisé par l’américain Tony Kaye et écrit par David McKenna.

Ce film traite des groupuscules néonazis aux Etats-Unis. Le personnage principal, nommé Derek Vinyard est un homme qui a perdu son père pompier, tué par un dealer noir alors qu’il tentait d’éteindre un feu dans un ghetto de LA. Cet incident a poussé Derek à rejoindre un groupe militant d’extrême droite suprémaciste blanc : persuadé qu’il doit venger son père, il profite du cambriolage de sa voiture durant la nuit pour prendre un glock et assassiner les 2 voleurs. Il va alors transmettre sa haine à son petit frère Danny, et va passer pour un modèle à ses yeux.

Derek est un personnage effrayant, à carrure imposante. Il est ouvertement raciste  et provoquant à l’égard de ceux qu’il déteste. On comprend rapidement qu’il ne sait pas de quoi il parle : toute sa frustration est forgée sur la mort de son père et les idées reçues. On assiste alors à l’évolution de ce personnage qu’on déteste fortement, mais qui va, au fur et à mesure, trouver la voie de la rédemption.

Le film se base sur des flashbacks en noir et blanc, ce qui nous permet de comprendre le personnage, les origines de sa haine jusqu’à sa prise de lucidité, en passant par tous les discours et les actes qu’il a commit. L’intérêt du film est de mettre en évidence les paroles, encore plus frappantes que les gestes. Les dialogues du film montrent que la pensée de ce genre de personnes reste limitée et qu’aucun argument ne pourra les faire remettre en question.

L’histoire, la manière dont le film est filmé, les ralentis, les gros plans qui font froid dans le dos… Font de ce film un véritable chef-d’œuvre.

Le film a été plutôt bien reçu par les critiques, de plus, la prestation d’Edward Norton dans le rôle de Derek lui a permis d’avoir été nominé aux oscars.