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Geek-Art : Super-Héros

Mon game art à pour but de faire réfléchir à l’art dans le temps.

Les comics, ses bandes dessinées créées aux États-Unis au 19e siècle racontent souvent des histoires mettant en scène des super-héros . Ce style de BD va bouleversé les codes et vas devenir un genre à part entière. Pour moi cet art marginal qui est aujourd’hui considérer comme de la pop culture peu dans un futur devenir l’art que les prochaines générations pourraient exposé dans de musée. Pour moi, la pop culture d’aujourd’hui est l’art de demain. Pour démontrer ma démarche je me suis inspiré d’un artiste français Léo Caillard, il met en scène des super héros en sculpture parmi d’autres au Louvre. J’ai trouvé l’idée très originale et j’ai décidé de faire mes propres créations. Pour cela j’ai cherché des modèles de super-héros en 3d que j’ai téléchargés et texturé dans c4d un logiciel de 3d (la capture d’écran montrent la phase de texturation). J’ai ensuite utilisé Photoshop pour intégrer mes super héros dans le musée.

Voilà à quoi ressemble mes images finales :

 

la suprématie Supreme

SUPREME: le nom dit tout.

Crée par James Jebbia, il s’agit d’une marque qui est passée d’une petite boutique skate au centre-ville de Manhattan à une marque de design qui fait du bruits chaque fois qu’il y a des drops importantes d’articles (le jeudi midi). Avant, simplement vue en tant que simple vêtement pour skateur et éloigné de la scène du design, la marque est aujourd’hui considéré comme l’une des marques de streetwear la plus influente et les plus recherchées dans le monde. Ils sont devenus un visage important dans l’industrie du design et ils ont même coordonné leurs efforts avec les plus grandes marques. La force de supreme est de faire beaucoup de collaborations à droites à gauches avec facilité. Supreme est une sorte de marque underground qui permet aux individus qui ont « gagné » leur droit d’acheter dans leurs magasins.

 

En plus d’être passionné par la mode urbaine, James Jebbia a un faible pour l’art. Fort de son succès avec Supreme, il invite des artistes renommés pour collaborer avec la marque. Ainsi, des œuvres du sculpteur , du peintre Georges Condo ou du photographe Terry Richardson ont été reproduites sur des tee-shirts et planches de skate dans des collections très limitées.

La rareté de Supreme a contribué à son succès. Aujourd’hui, seulement dix magasins sont ouverts dans le monde -New York, Los Angeles, Paris, Londres, trois à Tokyo, Nagoya, Osaka, Fukuoka- et les collections sont extrêmement limitées. Par exemple, les produits qui sont mis en ligne sur le site le jeudi à midi sont en rupture de stock à 12h02. La ponctualité est donc de mise.

Je suis moi même un garçon qui porte cette marque voici donc une petite compilation de ma collection (no rage)