-- La figure dans le paysage (Paris 8) » «I went»

Robert Walser. Le territoire du crayon

Article publié le : Lundi 6 décembre 2010. Rédigé par : Liliane

Ce qu’on a raté le jeudi 2 décembre au Palais de Tokyo, c’est très dommage!


Conférence
Les jeudis de Fresh Hell / Le territoire du crayon
«Conférence autour des « microgrammes » de Robert Walser (1878-1956). Avec : Susan Bernofsky, biographe du poète et Jochen Greven, éditeur et spécialiste de l’oeuvre de Robert Walser.
Des centaines de feuillets, couverts d’une écriture minuscule au crayon ont été retrouvés dans les archives de l’auteur énigmatique Robert Walser. Assimilés dès leur découverte à des codes secrets, les « microgrammes » de Walser inscrits sur tous types de supports (carton d’invitation, feuillet de calendrier, morceau de papier d’emballage) ont depuis été déchiffrés puis publiés et ont révélé tout un pan de son œuvre ignoré jusque la. Jochen Greven, le premier et plus fidèle éditeur de Robert Walser, se joint à Susan Bernofsky, biographe du poète suisse-allemand, pour analyser, images à l’appui, cet atelier miniature et discuter de la signification des écrits mystérieux.»

le pavillon des États-Unis

Article publié le : Dimanche 21 novembre 2010. Rédigé par : Jiacai Liu

Après ce que Cindy a dit par rapport à l’exposition universelle, Je dois parler des installations automatiques et de l’application multimédia dans le pavillon des États-Unis.

Lorsque nous sommes entrés dans le pavillon américain, j’ai été étonnée de ne voir aucun personnel apporter leur service aux visiteurs, alors qu’il était nombreux dans les autres pavillons. Pour cette raison,  j’ai examiné tout le parcours de ce pavillon, et j’ai remarqué que toutes les installations étaient automatiques. Quand on entrait dans un espace, on ne pouvait pas retourner ou avancer dans un autre espace, on devait d’abord terminer la visite de cet espace afin de pouvoir passer au suivant, mais impossible de revenir en arrière. Chaque porte entre les espaces est entièrement automatisée. Ensuite, il y a des écrans multimédias pour raconter la paix, les enfants, l’environnement dans le monde etc.. Évidemment, les techniques modernes jouent le rôle principal dans le pavillon américain (voir ci-dessous les photos que j’ai prises en septembre 2010).

l’extrait d’un espace du pavillon des États-Unis : Les visiteurs sont devant l’écran multimedia du premier espace.

la porte entre les espaces dans le pavillon des États-Unis

des extrait du vidéo multimédia dans le  pavillon des États-Unis

les drapeaux des pays du monde devant la sortie de l’exposition universelle

Exposition universelle de Shangai 2010

Article publié le : Dimanche 14 novembre 2010. Rédigé par : Ophélie Payen

J’ai eu l’occasion de visiter l’exposition universelle durant mon voyage en Chine en octobre. Cette année le thème était « Meilleure ville, Meilleure vie », elle se déroulait donc dans la ville de Shangai du 1er mai au 31 octobre 2010.  L’infrastructure est immense, les chinois ont mis en place de nouvelles lignes de métro pour pouvoir accueillir les visiteurs par milliers. L’exposition se divise en 5 continents où l’on peut visiter plus de 242 pays, les pays étant les plus visités cette année ont été la Chine, l’Australie, l’Angleterre, l’Espagne et la France. J’ai eu l’occasion de passer une journée dans l’exposition. C’est immense, une journée n’est d’ailleurs pas suffisant pour tout visiter.


Entrée de l’exposition. Pour certains pavillons il faut faire la queue pendant des heures pour pouvoir accéder à l’intérieur, on se croirait presque dans un parc d’attractions.


Pavillon de la Suède


Pavillon français


Vue du pavillon allemand et polonais par l’intérieur du pavillon suisse :

J’ai pu visiter 3 pavillons, le français, le Suisse et le Chinois. Cette exposition m’a laissée assez perplexe. Des pavillons que j’ai pu visiter aucun ne va vraiment « éblouie », l’aspect extérieur de chaque pavillon cependant était très beau.J’ai beaucoup apprécié l’architecture du pavillon suisse et polonais. Les Chinois ce sont également surpassés pour montrer toute la beauté de la chine en un seul bâtiment.


Pavillon chinois


C’est la mascotte de l’exposition, il a la forme du caractère 人 (Pinyin : rén)  qui signifie «être humain» ou «humanité» en chinois . Ce petit personnage a été propulsé au rang de star par les enfants chinois car il représente l’avenir écologique du pays.

18 octobre 2010. Vidéo et après. Allan Kaprow

Article publié le : Lundi 18 octobre 2010. Rédigé par : Liliane

Centre Pompidou. 18 octobre 2010. 19h. Vidéo et après. Allan Kaprow par Glenn Philipps


Allan Kaprow, Rates of Exchange, 1975 / ©Coll. Mnam/Cci

«Inspiré par ses maîtres Cage et Duchamp, Allan Kaprow devient la tête de file de ceux qui rejettent toutes les idées reçues sur l’art, au point d’effacer toutes les frontières entre art et non-art. Il contribue à créer le « happening » qu’il définit comme étant un assemblage d’événements joués en plusieurs temps et lieux dont les modalités peuvent être inventées ou tout à fait ordinaires et se déroule selon un plan, sans répétition, ni public. Bien que la vidéo ait joué un rôle important dans son travail aussi bien pour la documentation de ses happenings que pour son expression créative, Kaprow reste profondément ambivalent vis-à-vis de ce médium et de sa viabilité. Au cours de sa carrière, il l’expérimente à maintes reprises, essayant chaque fois de l’employer d’une nouvelle façon. Glenn Phillips examinera la relation de cet artiste à ce médium à travers la série d’expériences qu’il a réalisées à la fin des années 1960 et pendant les années 1970. Allan Kaprow est né en 1927 à Atlantic City dans le New Jersey (Etats-Unis) et mort en 2006.»
Séance conçue et présentée par Glenn Phillips, conservateur au Getty Research Institute de Los Angeles et co-auteur de la monographie Allan Kaprow – Art as Life, 2008.
Lien : Allan Kaprow. Pose. Re-enactment. Street Happening.

Livres pixellisés

Article publié le : Lundi 11 octobre 2010. Rédigé par : Cindy Theodore

Rashid Rana expose en ce moment au musée Guimet (dans les collections permanentes). Voici sa vision des livres… amusante et angoissante  à la fois. Amusante car nous sommes trompés lorsque nous voyons les livres de loin et que nous nous rendons compte que ce sont de faux livres. Angoissante car justement, ce ne sont pas des livres, on ne peut pas les ouvrir et y jeter un œil, ni savoir de quoi ils parlent car les couvertures sont fortement pixellisées… L’effet plastique est très intéressant.


photos : CT, le 11/10/2010, musée Guimet

CT

Jacque Tardi—encore une fois l’histoire me ramène là-bas

Article publié le : Lundi 31 mai 2010. Rédigé par : Hsin-yin Chang


portrait TARDI – Réal. Thomas Boujut – Prod. CAPA

thomas | MySpace Vidéo

Voici un flâneur des lieux parisiens qui crée tout un univers de ses bandes- dessinées uniquement dans une même ville: Paris. L’histoire se déroule aussi bien dans les quartiers parisiens centraux, près des monument historiques emblématiques, que dans les endroits sombres de la capitale, dans les passages parisiens, ou dans des banlieues périphériques, dans une forêt, mais toujours Paris sera le support de l’histoire; ainsi même lorsque le détective Burma en sera éloigné de gré ou de force, il finira par retourner dans «sa» ville.

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Promenade dans la nuit de Landy

Article publié le : Mardi 18 mai 2010. Rédigé par : Xiaozhi Chen

Mise en valeur des objets précaires abandonnés a travers un petit monde transparent. Autrement dit, la boîte comme un sorte d’espace surveillé, comme on protège un objet précieux, les images sont bien vivantes dedans. Parfois, derrière les papiers coupés, les vrais vies paraissent plus faible.

La nuit de Landy n’est pas très rassurante, comme un nouveau terrain sauvage, nous abordions la rue mystérieuse. Sans personnage, elle devient scène artistique. Chaque personne croisé ou suivie apparaissent  comme dans un spectacle, éclairés par des lampadaires, ainsi on peut confondre la réalité avec l’utopie. Tel passant barbus, une femme ronde au pain au chocolat, un policier jouant avec son portable…Selon les langues, les cultures, les âges, les vies privées et publiques se modifient profondément…

Piazza Del Duomo, Milano

Article publié le : Dimanche 2 mai 2010. Rédigé par : Xiaozhi Chen

En sortant du RER B, la plaine-stade de France…

Article publié le : Dimanche 18 avril 2010. Rédigé par : Cindy Theodore

Balade sonore Rue du Landy //cindy Théodore
Vous pouvez télécharger cette balade sonore ( MP3) et l’écouter en sortant du RER B ( la plaine – stade de France).

cindy théodore

Mon petit paysage urbain

Article publié le : Mardi 30 mars 2010. Rédigé par : Xiaozhi Chen

Ce que je montre est une partie de mon projet de Landy. Il s’agit de théâtraliser des paysages urbains dans des boîtes comme des maquettes que j’ai créées, puis de les placer dans leurs contextes originaux, pour voir les conséquences sur les passants qui deviennent le public.