Atelier Art et Internet

Vue du couloir de l’entrée du Shanghai Propaganda Poster Art Centre
(上海宣传画艺术中心)

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1. Œuvre pour internet

1.1

The Endless Forest (2005) de Tale of Tales qui est un jeu en ligne multi-joueur sous la forme d’un économiseur d’écran, est présenté par Entropy8Zuper !. En incarnant des cerfs, les joueurs sont invités à flâner dans une forêt virtuelle où ils peuvent se rencontrer et communiquer par les mouvements du corps ou avec des sons.
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vue du musee de Shanghai

Pour accéder à ce musée, il faut prendre la sortie 1 du métro de Shanghai. Puis il faut traverser le parc… et on voit le bâtiment de loin en sortant mais il n`y a aucune indication, alors je me suis dirigée vers ce qui me semblait être une entrée mais c’était la sortie et donc j’ai du refaire tout le tour pour entrer par l’entrée…Il y avait une petite queue et comme il pleuvait, un agent du musée distribuait des sacs en plastiques pour mettre nos parapluies dedans.Après avoir passé le portique de sécurité, on pénètre enfin dans le musée. Il s`avère que ce musée est gratuit (contrairement a ce qu’il y a d’écrit dans le guide du routard) et que seul l`audio guide est payant. Ils en ont en français. La collection du musée est divisée en plusieurs parties reparties sur plusieurs niveaux, quatre.
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Cette article est un des plus intéressants parus sur cette exposition.

Art - Esprit, es-tu là ? Par Catherine Golliau (Publié le 01/05/2008 N°1859 Le Point)
Comment l’art peut-il témoigner du besoin de transcendance dans une société qui ne veut plus de Dieu ? Enquête sur les « Traces du sacré », l’exposition du Centre Pompidou.
ps. Interview avec Jean de Loisy -> http://br.mytrace.tv/video/iLyROoafYzxu.html

Xiaogang Zhang , Bloodline: Tian’anmen 7

Je donne ma liste d’artistes contemporains chinois, des artistes vedettes ou peu connus en occident. La plupart des artistes n’ont pas de site officiel personnel pour des raisons complexes (politiques, techniques, culturelles, etc.), tandis que les sites où je peux trouver des informations les plus complètes sont ceux des galeries commerciales ou ceux des ventes en ligne. Sans clichés, sans astuces, sans spectacles ni spéculations, que reste-t-il l’art contemporain chinois?

Cao Fei:  RMB City ︱Ji Dachun:  Grande sagesse et Petites malices ︱Li Zhanyang:  Scènes ︱Liu Xiaodong:  Still life︱Weng Peijun (Fen):  Time is money︱Xia Xing: Actualités à la une ︱Xie Nanxing:  Sans titre  ︱Yang Fudong:  Chinese Dreams ︱Zhang Huan:  To raise the water level in a fishpond ︱Zhang Xiaogang:  Bloodline, The Big Family︱

Portraits Alec SOTH | Le ciel commence là Corinne MERCADIER | Un oeil sur la Chine Gilles SABRIE | Communauté harmonieuse Ian TEH | Paysages urbains Jean-Christophe BALLOT | Le pays du soleil levant JUNKU | Men’s city LUCIE&SIMON | Short hope Maki MIYASHITA | To die will be an awfully big adventure Patti SMITH | Glorious life WANG Qingsong

Maurizio Cattelan, Him (2001)

Dans l’exposition intitulée Trace du sacré à Beaubourg, la deuxième partie de la section thématique «Apocalypse» commence par l’introduction du film, Faust : une légende allemande de F.W. Murnau. Les trois cavaliers qui poussent leurs chevaux à fond de train représentent trois catastrophes : la guerre, la famine, et la peste.
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Bill Viola, Room of St. Jean de la Croix (1983)

L’essai intitulé L’entre-images de Raymond Bellour, consacre un extrait à Room of St. Jean de la Croix de Bill Viola: «de l’image brute et vive, en quelque sorte, une sorte d’image-corps sans laquelle aucune transmutation n’est possible. C’est en accueillant cette force qu’on métamorphose la perception-vidéo, et qu’on la transforme en poème. Qu’on passe et qu’on repasse du dedans au dehors de l’image, qu’on transforme son extériorité de principe en une forme d’animation visionnaire […] »
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C’est impressionnant. J’ai réellement vu une montagne dans une des salles du Palais de Tokyo. Une montagne de détritus. C’est l’œuvre saisissante intitulée Dump de l’artiste suisse, Christoph Büchel. Au pied de la montagne, il y a un tuyau qui se dirige vers l’autre côté de la montagne. Qu’est-ce qu’il y a de l’autre côté ? Je ne sais pas encore. On m’a dit qu’il fallait attendre encore deux semaines, puis le tuyau sera ouvert pour permettre au spectateur d’explorer l’autre côté. Pour l’instant, on peut seulement apprécier l’un des côtés de ce paysage artificiel.
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Un fragment du souvenir, une mélodie, une couleur. Pas de l’image, mais l’imaginaire. Le temps d’une chanson de Régine Cirotteau dans l’exposition In&Out à Synesthésie, nous ouvre une porte virtuelle vers des moments de la perte.
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