Projet

Musique et système urbain

 

Le banal est médium de cette création qui se concentre sur l'idée d'une oeuvre numérique plassable à tout endroit sans autre outil que le simple Personal Computer. Nous diffusons ici des enregistrement, tous référencés. Nous sommes dans un système de déstitution, réstitution et diffusion.

 

L'ensemble des fragments sonores est en résonnance avec un espace urbain. L'acte de diffusion dans de nouveaux espaces est la mécanique de cette l'oeuvre, son fonctionnement; chaque morceau possède sa propre force, sa propre intention qui relève de l'instantanéité. Ce slam, ce morceau de saxophone, ce poème fonctionnent de leur propre chef, il n'appartiennent d'ailleurs qu'aux artistes qui en furent à l'origine. Il n'est pas ici sujet de leur performance, mais de leur rencontre avec un espace. Nous jouons avec le système de pluralité et de mondialisation de la création: un nouvel espace donnera une nouvelle dimension a ces trois oeuvres sonores. L'infini.

 

Ce dont relèvent chacun de ces enregistrements c'est le conflit entre un espace urbain paramétré (accoustique, élément sonore extérieur...) et une musicalité qui s'instaure, s'installe dans un espace-temps.

(poèsie)

Les photographies qui entrent en connexion avec les 3 enregistrement sont 3 pièces de l'artiste.

 

Pour le premier extrait un slam (chant de la rue), se coordonne avec ce projet dans la mesure où ma capture oppose une musique urbaine -parce que née dans la rue- à l'espave urbain, deux éléments au semblant originel commun se rencontrent.

▌Yas & the Leightmotiv ▌

 

Le deuxième est un saxophoniste qui emplit l'espace des arches du Palais du Louvre. Un habitué s'y produit, j'ai entendu qu'il produisait un album solo.

 

Enfin le troisème est une lecture de poème au sein de l'université paris 8 Saint Denis par Margot Vincenti. Ce poème s'intiltule "Passionément" et est écrit par Ghérasim Luca que l'on peut retrouver dans le recueil le Chant de la Carpe.

 

Références:

- Les réflexions Cagiennes sur le son (rencontre ci-dessous):

 

- La désacralisation de l'art par DaDa: " DaDa c'est tout, c'est rien, c'est ce que vous voulez"

▌voir du dada ▌ (site de l'exposition de Pompidou, du 5 octobre 2005 au 9 janvier 2006)

 

- Mulholland Dive de David Lynch ( ceci a déjà été enregistré ce n'est que la répétition d'une bande sonore quelconque):